Meurtre à Camp Nouveau -Partie I

Werner eut un bref soupir de soulagement en entendant le patrouilleur accepeter son aide.

Mmh... Quel crime horrible. Si nous laissons courir l'individu qui a fait ça, je ne donne pas cher de la tranquillité de Camp Nouveau pour les jours à venir...

Ce n'est pas un meutre ordinaire... Cette sauvagerie, cet acharnement...

Werner examina l'éventail que lui montra Otwin.

Un éventail... C'est étrange, que vient faire un éventail dans une scène pareille ? Une femme dites-vous ? Mais généralement dans un crime passionnel, si tant est que l'on peut aller jusqu'au meutre pour une histoire passionelle, le meutre se fait discrétement, dans une pièce. Ou au moins, le corps n'est pas laissé au vu et au su de tout le monde ! Y-a-t-il une forme u un dessin sur cet objet ? Peut-être s'agit-il d'une organisation ou d'une secte locale, ces malfaisants aiment bien signer leurs crimes avec un objet ou une marque inexplicable...

Otwin déplia l'éventail et le présenta a Werner de maniere a ce que les deux hommes puissente l"étudier.

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Keya dessus?

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Je ne pense pas vraiment a un crime passionnel: trop de sauvagerie. Une femme donne bien sur de nombreux coups de couteaux, et nombrexu sont ceux qui dans le lot ne sont ps utiles, c'est le fait de l'hysterie. Mais en aucun cas elles n'égorgent leur amant déchu, ou elle ne se comportent pas comme cela. Cela ressemble a un crime d'homme..
Otwin réfléchit un instant

Il me semble qu'un tel instrument pourrait appartenir a une courtisane ou a une catin. IL me semble qu'il y a un bordel ou un établissement peu fréquantable a Camp nouveau...peut etre une des personnes qui y travaille aura perdu ceci...J'irais voir dés que Thomas se serra pointé pour m'aider a sortir le corps de la. Mais ou est il ce bougre?

Otwin regarde autour de lui pour voir si il n'aperçoit pas son ami.

Alester n'en revenait pas : pourquoi devait-il obéir aux ordres du patrouilleur ? ha oui : il s'était trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment. Une chose courante dans le Vieux Monde. De plus, Alester n'avait aucune envie de se rebeller contre la loi.

l'apprenti parla assez bas, en langue classique :
"Tout de même Danaweÿr, ce n'est pas à nous de faire le sale boulot ! C'est leur problème s'ils ne sont pas cappables de protéger leurs citoyens"

C'est une piste à creuser en effet, répondit Werner aux conjectures d'Otwin. Je vous accompagnerai là-bas, ce genre d'établissement n'est pas réputé pour sa transparence quant aux gens qui le fréquentent...

Je me demande bien ce que nous pourrons trouver là-bas.

Danaweÿr a écrit:

- Monsieur, un meurtre a été commis. Votre assistance, et celle de la garnison, est requise pour l'enquête.

Le soldat se raidit:

"Que dites vous??!!"

Il marmona quelque chose d'incompréhensible puis fit signe à l'autre soldat de venir.

Danaweÿr a écrit:

- Hum, excusez-moi. En fait, je me souviens que l'aide que l'on requiert de vous, c'est de fermer les portes pour que personne ne puisse sortir... Monsieur.

Le garde semblait surpris de cette demande, il s'éssuya le nez avec le revers de sa manche et continua:

"Qui vous envoi? Et pourquoi voulez que nous fermions les portes?..."

Son collègue arriva, il était équipé differemment, avec une chemise de maille et une lance. il recu l'ordre de prevenir un supérieur à la caserne. Il parti en courant.

Otwin a écrit:

Il me semble qu'un tel instrument pourrait appartenir à une courtisane ou a une catin. IL me semble qu'il y a un bordel ou un établissement peu fréquentable a Camp nouveau...peut être une des personnes qui y travaille aura perdu ceci...J'irais voir dés que Thomas se serra pointé pour m'aider a sortir le corps de la. Mais ou est il ce bougre?

Otwin regarde autour de lui pour voir si il n'aperçoit pas son ami.

Deux silhouettes étaient discernables un peu plus loin, apparemment celle de deux hommes. On pouvait distinguer que l'un portait une pioche sur son épaule, à moins qu'il ne s'agisse d'une pic de guerre? L'autre avançait d'un pas décidé, un fourreau pendant vraisemblablement à son côté. Ils progressaient tous deux dans le plus profond silence vers le corps à moins que ce ne soit vers Otwin et Werner?

Werner chuchot à l'oreille du patrouilleur :

Votre ami n'est pas revenu mais visiblement nous avons de la compagnie... C'est peut-être la garde, mais dans ce cas pourquoi ne nous interpellent-ils pas ? Restons sur nos gardes, et...

Par Verena, je ne suis pas armé !

Werner espérait bien que ces deux silhouettes n'allaient pas constituer deux problèmes supplémentaires...

Otwin observa un instant les deux silhouettes. Rien ne les faisait paraitre hostile, mais rien non plus amicales.
Il se tourna vers Werner en lui tendant son épée:

Tenez mon ami, et faites en bon usage mais prudence, personne ne nous menace pour le moment.

Il se tut un instant puis ajouta pour lui même : Le bout pointu devant...
Voyons voir ce qu'ils nous veulent.

Il s'adressa alors aux silouettes approchantes, dégainant son pistolet

QUI VA LA? Je suis patrouilleur impérial, au nom de Sigmar et de l'Empereur arrertez vous!

Thomas qui se traînait dans les ruelles, portant pelle, couverture et pioche ouvrit une nouvelle fois sa grande goule en poursuivant sa route :

« C’n’es qu’mouais vieux corniaud! Et pi y a un gard’du pat’lin ossi si c’est ski t’tracass’ ma grande ! Alors tu va m’faire le plaisir de ranger ton jouet pac’que j’m’arrerterai pô! »

Il jeta alors la pioche au patrouilleur pour qu’il la rattrape, lui souriant de ses "belles" dents , et pausa la sombre couverture au sol, près du corps. Il se tourna alors vers le garde auquel il s’adressa :

« C’est quan tu veux l'ami , mais j’pense qu’ce pauv’ vieux attend pu qu'l’repos qu’seul mort peu lui accorrder, on devrait pas prév’nir la famille et l’enterrer fissa? »

La pluie continuait à tomber abondamment sur la sordide scène.

PNJs a écrit:

"Qui vous envoi? Et pourquoi voulez vous que nous fermions les portes?..."

"Il vient juste de vous le dire - Alester fit un signe de tête en direction de Danaweÿr - "c'est pour que personne ne puisse sortir. Un crime abominable...vous devriez voir, on dirait un tableau de Bertolf Schreiber, vous savez, ce peintre d'Altdorf à moitié fou...

"ha et nous avons étés envoyés par un patrouilleur. Il est toujours sur les lieux du crimes j'imagines."
vite bon sang, fermez les portes !

Werner soupira lorsqu'il compris que les deux personnes étaient amicales. Il fixa l'épée d'Otwin à sa ceinture, en attendant mieux, ou même en attendant de lui rendre, c'était pas le moment de se rendre ridicule en lui redonnant...

Avant de l'enterrer, quelqu'un a-t-il examiné plus précisément le corps de la victime... ou ce qu'il en reste ? Aucun autre indice à relever avant de lui donner le repos qu'il mérite ?

Ses cheveux ruisselaient, mais il n'en avait cure, le pauvre homme accaparait son attention, et sa colère...

En entendant la voix de son ami Otwin se décrispa. Il rabatit le chien de son pistolet et le rapassa dans sa ceinture. Il jeta un coup d'oeil discret a Werner, lui ota l'épée de la ceinture avec un clin d'oeil et la remis dans son foureau.

Il observa son ami qui approchait, puis attrapa la pioche que le mufle lui lançait.

Tu vois bien qu'il suffit de t'annoncer bourrique, bien qu'a l'odeur j'aurais du te reconnaitre. Ca fait combien de temps que t'as pas pris un bain?

Il se tourna ensuite vers le nouveau venu
B'soir, m'appelle Otwin, patrouilleur imperial. Z'êtes du village? Pourriez p'tet nous dire qui c'était, ca ferait déja avancer les choses...
Il mena le petit groupe aupres du cadavre.

Le v'la. Reconnaissez?

Il laissa l'homme a sa comtemplation, tout en lançant a Thomas.
Tu penses pas qu'y faudrait un peu l'examiner a la lumiere avant que de l'mettre en terre? Son ame a déja franchi les portes du jardin de Morr, son corps attendra bien qu'ek heures avant de la rejoindre. Pis bon, comme ca on aura ptet moyen de mettre la main sur un pretre , qui lui donne les derniers sacrements et le benisse, histoire qu'on se le retrouve pas demain soir marchant dans les rues....

"A l'Ouest ? Très bien, j'y vais immédiatement !"

"Je ne sait pas quel était son nom mais le pauvre homme s'est fait égorger. Le plus étrange est le fait qu'on lui est également asséner de nombreux coups de couteau...abominable cette histoire."

Alester se mit à courir en direction de l'Ouest en faisant signe à Danaweÿr de le suivre. Personne ne sortirait de la ville ce soir...
Le facteur vitesse était important dans une telle affaire, et chaque seconde qui s'écoulait était précieuse au meurtrier.
Le patrouilleur à probablement un cheval, songea Alester, mais il préfère ne pas le fatiguer alors il nous envoie à la place. Par Sigmar, ça ne lui aurait pris que quelques instants pour aller fermer les portes

Danaweÿr suivait son nouveau compagnon - physiquement - mais il ne songeait pas aux mêmes choses que lui...
Il songeait aux moyens de poursuivre l'enquête.
Tout en accourant vers la porte ouest,
il se disait que le mieux, pour élucider une affaire, n'est pas de trouver le mobile, et ce que le criminel a fait auparavant, mais plutôt comment il a pu agir dans les instants mêmes suivants son crime :
Qu'a t-il décidé, où est-il allé, avait-il déjà en tête se destination avant de frapper sa victime ?

- Nous arrivons ! s'écria t-il en montrant la porte du doigt.
Pourvu que ce ne soit pas trop tard, et que le criminel n'aie pas déjà passé par cette porte-là..

Otwin a écrit:

En entendant la voix de son ami Otwin se décrispa. Il rabatit le chien de son pistolet et le rapassa dans sa ceinture. Il jeta un coup d'oeil discret a Werner, lui ota l'épée de la ceinture avec un clin d'oeil et la remis dans son foureau.

Il observa son ami qui approchait, puis attrapa la pioche que le mufle lui lançait.

Tu vois bien qu'il suffit de t'annoncer bourrique, bien qu'a l'odeur j'aurais du te reconnaitre. Ca fait combien de temps que t'as pas pris un bain?

Il se tourna ensuite vers le nouveau venu
B'soir, m'appelle Otwin, patrouilleur imperial. Z'êtes du village? Pourriez p'tet nous dire qui c'était, ca ferait déja avancer les choses...
Il mena le petit groupe aupres du cadavre.

Le v'la. Reconnaissez?

Il laissa l'homme a sa comtemplation, tout en lançant a Thomas.
Tu penses pas qu'y faudrait un peu l'examiner a la lumiere avant que de l'mettre en terre? Son ame a déja franchi les portes du jardin de Morr, son corps attendra bien qu'ek heures avant de la rejoindre. Pis bon, comme ca on aura ptet moyen de mettre la main sur un pretre , qui lui donne les derniers sacrements et le benisse, histoire qu'on se le retrouve pas demain soir marchant dans les rues....

Thomas rejoint le groupe et resta concis, regardant au dessus de l'épaule de son ami.

"Qu'es'tu raconte vieille carne? J'fleur aussi bon qu'une rose en pin primtemps! Et pi s'tu veux matter un cadavre bin pâle et sanguinolent plus lon temps, c't'on choix... . Les goûts et les couleurs, moâ, c'que j'en dit!"

Le garde était relativement grand (près d'1.80m) et imposant, il portait une barbe touffue et ses cheveux étaient châtain, mais ce que vous remarquez d'emblées sont les diverses cicatrices qui ornent son visage. Il porte de la maille de pied en cape et une longue espée pend à son côté tandis qu'il porte une arquebuse dans son dos. Il ne porte pas d'uniforme. Il observe d'abord les deux hommes d'un air suspicieux puis jette un oeil au corps, réprimant un haut le coeur.

"C’est ce pauvre Jonas, un bourgeois. Il faisait dans la "prospection" aussi je crois. Enfin, c'était... . Qu'est ce qui a bien pu lui arrivé à celui là?"

Il pointe alors le doigt vers Werner.

"Toi! Cours jusqu'à l'hôtel de ville et dis au gars de garde qu'Hans veux qu'il réveille Kurt, et en vitesse. Après ça, tu va me les conduire jusqu'ici, et vite. S'il te demande mon nom, c'est Bermarch, tu t'en souviendra?"

Il se tourne ensuite vers Otwin.

"Quand à vous, j'aimerais savoir qui vous êtes et que vous me racontiez tout ce qui c'est passé."

Se rendant compte d'un oubli, il se retourne et crie à Werner.

"J'oubliais, faites prévenir la p'tite Lise que son père a rendu l'âme! Elle a le droit de le savoir, la pauvrette... ."

Otwin se tint bien droit, et regarda le personnage droit dans les yeux. Il reconnaissait au ton de sa voix que le gars avait l'habitude d'être obéit, et que commencer à finasser n'aurait servit a rien, si ce n'est a le mettre en colere.

Parfait, enfin un type un peu comme moi...

Il fit un bref salut militaire.

Bonsoir....sergent?

Otwin n'était pas sur du grade de l'homme en face de lui. Un peu trop couturé pour etre un capitaine, trop sur de lui pour etre un simple garde...mais sait on jamais...

Je m'appelle Otwin, je suis patrouilleur imperial. J'ai été mandé par le capitaine du district militaire de Nuln, mais apparement ma lettre d'annonce qui devait arriver avant moi par pigeon voyageur a du retard.

T'façon ca sert a rien de faire confiance a un piaf...

J'était dans l'auberge quand j'ai entendu crier. J'suis sorti avec thomas pour aller voir et on a trouvé le cadavre. Trop de plaies...pas normal. J'ai fouiné un peu autour mais la pluie a éffacé les traces. J'ai trouvé ca mais je ne sais pas si il y a un rapport.

Otwin lui tendit l'éventail.

Affaire bizarre monsieur.

Pour Alester et Danaweyr:

Les deux hommes ont traversés les ruelles étroite de Camps nouveau et arrive facilement à l'entrée Ouest.

Un soldat était assis près de la porte fermée. Cette entrée était beaucoup plus petite que celle du Nord.

Quand il vit arriver les deux hommes ce dernier ne bougea point...

Devant l'assurance du garde, et après avoir remarqué que l'ami d'Otwin l'accompagnait (ce qui était au moins une assurance qu'il était -normalement - avec eux) Werner se dirigea en direction de l'hôtel de ville. par chance, il l'avait repéré lors de son arrivée au Camp. La pluie continuait à tomber dru, et il était maintenant parfaitement détrempé.

Hé bien, quelle soirée pour mon arrivée ici...

Il arriva assez rapidement à hauteur de l'hôtel de ville et apostropha le garde en faction.

Vite, je viens pour ramener Hans et Kurt. je viens de la part de Bermarch. Dépêchez-vous, c'est urgent !

Werner s'était positionné sous le proche en attendant que le garde ses remue, en espérant limiter le nombre de litres d'eau imbibés dans sa cape...

Otwin a écrit:

Otwin se tint bien droit, et regarda le personnage droit dans les yeux. Il reconnaissait au ton de sa voix que le gars avait l'habitude d'être obéit, et que commencer à finasser n'aurait servit a rien, si ce n'est a le mettre en colere.

Parfait, enfin un type un peu comme moi...

Il fit un bref salut militaire.

Bonsoir....sergent?

Otwin n'était pas sur du grade de l'homme en face de lui. Un peu trop couturé pour etre un capitaine, trop sur de lui pour etre un simple garde...mais sait on jamais...

Je m'appelle Otwin, je suis patrouilleur imperial. J'ai été mandé par le capitaine du district militaire de Nuln, mais apparement ma lettre d'annonce qui devait arriver avant moi par pigeon voyageur a du retard.

T'façon ca sert a rien de faire confiance a un piaf...

J'était dans l'auberge quand j'ai entendu crier. J'suis sorti avec thomas pour aller voir et on a trouvé le cadavre. Trop de plaies...pas normal. J'ai fouiné un peu autour mais la pluie a éffacé les traces. J'ai trouvé ca mais je ne sais pas si il y a un rapport.

Otwin lui tendit l'éventail.

Affaire bizarre monsieur.

L'homme écoute patiemment le rapport du patrouilleur avant d'observer l'éventail d'un drôle d'air. Il jette un nouveau coup d'oeil au corps.

"Eh bien, je crois qu'on va bien tranquillement attendre l'intendant. Lui trouvera quoi faire, mais en attendant, il serait bon d'en apprendre plus sur la situation. N'avez-vous vraiment rien vu d'autre? L'assassin n'a pas pu disparaître si facilement. Peut-être même qu'il rôde alentours... ."

Il fait alors le tour du cadavre avant de se pencher pour mieux l'observer.

PNJs a écrit:

Pour Alester et Danaweyr:

Les deux hommes ont traversés les ruelles étroite de Camps nouveau et arrive facilement à l'entrée Ouest.

Un soldat était assis près de la porte fermée. Cette entrée était beaucoup plus petite que celle du Nord.

Quand il vit arriver les deux hommes ce dernier ne bougea point...

Russel s'approcha du garde. Dans l'obscurité, il ne voyait point bien s'il veillait à l'affût, l'observant sans bouger, ou s'il était plongé dans les rêves de Morr... Puisqu'il il était aussi bien le dieu du sommeil que de la mort.

S'approchant encore un peu, il héla :

- Holà ! garde ! Vous ne réagissez pas, lorsque les gens approchent ! J'ai un ordre à vous transmettre. Hé, mon gaillard !
tu vas tout de même me faire le dire, non ?!

Pour tout vous dire j'ai pas vraiment eu le temps de regarder partout. J'ai cherché tout de suite des traces de lutte ou de fuite et j'ai envoyé les deux jeunes faire fermer les portes, comme ca si l'assassin est encore dans le village il ne pourra pas sortir.
Mais j'allais attendre le jour pour pouvoir mieux examiner le corps et les environs.

Il toussa, s'essuya la bouche avec la manche et continua

Et pour tout vous dire j'ai pas pris de risques avec ce gars, j'étais pas tout seul. Si y'avais pas eu les gosses qui suivaient d'accord j'aurais cherché quelquechose de plus "physique" comme approche, mais j'avais pas envie qu'un des gamins se prenne l'envie de me suivre et qu'il prenne un mauvais coup dans une ruelle. C'est aussi pour ca que je vous les ai envoyé.

Trop vu de gosses en morceaux...

Par Taal si ca avait pu ne pas exister....et toi Taal! Ou était tu vieux fourbe? Tes bois qui les a défendu de leur vie? C'est nous, tes fils et filles, et pour quoi? Pour voir nos enfant massacrés par la charogne! Et pas de perspectives de vaincre! Ou étaient tes fieres légions du ciel hein, le pere de toute nature? Sois maudit!

Otwin devint tres pâle, il s'appuya au coin d'un mur

Oh, pardonne moi....tu es en toute chose, tu as souffert autant que nous...

Werner Hauschofer a écrit:

Devant l'assurance du garde, et après avoir remarqué que l'ami d'Otwin l'accompagnait (ce qui était au moins une assurance qu'il était -normalement - avec eux) Werner se dirigea en direction de l'hôtel de ville. par chance, il l'avait repéré lors de son arrivée au Camp. La pluie continuait à tomber dru, et il était maintenant parfaitement détrempé.

Hé bien, quelle soirée pour mon arrivée ici...

Il arriva assez rapidement à hauteur de l'hôtel de ville et apostropha le garde en faction.

Vite, je viens pour ramener Hans et Kurt. je viens de la part de Bermarch. Dépêchez-vous, c'est urgent !

Werner s'était positionné sous le proche en attendant que le garde ses remue, en espérant limiter le nombre de litres d'eau imbibés dans sa cape...

L'un des garde en faction, vraisemblablement de forte mauvaise humeur, tout trempé qu'il était semblait près à rembarrer le novice lorsque le second lui coupa toute initiative.

"Tu veux sûrement dire qu'Hans Bermarch sollicite la présence de Kurt, n'est-ce pas gamin? Et bien même si t'es pressé, je crains qu'une petite explication s'impose... . Y a comme qui dirait plus sociable qu'notre cher intendant au saut du lit... ."

Il adressa un clin d'oeil appuyé à son compagnon, tout penaud, et lui chuchota quelques mots à l'oreille avant que ce dernier ne rentre dans la caserne.

Russel Danaweÿr a écrit:

PNJs a écrit:

Pour Alester et Danaweyr:

Les deux hommes ont traversés les ruelles étroite de Camps nouveau et arrive facilement à l'entrée Ouest.

Un soldat était assis près de la porte fermée. Cette entrée était beaucoup plus petite que celle du Nord.

Quand il vit arriver les deux hommes ce dernier ne bougea point...

Russel s'approcha du garde. Dans l'obscurité, il ne voyait point bien s'il veillait à l'affût, l'observant sans bouger, ou s'il était plongé dans les rêves de Morr... Puisqu'il il était aussi bien le dieu du sommeil que de la mort.

S'approchant encore un peu, il héla :

- Holà ! garde ! Vous ne réagissez pas, lorsque les gens approchent ! J'ai un ordre à vous transmettre. Hé, mon gaillard !
tu vas tout de même me faire le dire, non ?!

Le garde semblait émerger d'un profond sommeil et tout aussi irritable que confus... . D'abord cette pluie et maintenant un inconnu voulait lui donner des ordres! Il se relève pesamment avant de prendre la parole.

"J'ai aucun ordre à recevoir de toi alors maintenant tu vas gentiment m'expliquer pourquoi j'devrais pas vous coller au trou!"

Le garde affichait un sourire satisfait, d'aucun le trouveraient même suffisant, après tout ne représentait-il pas la loi ici? Alors un petit tour au trou ne ferait certainement pas de mal à ce jeune pour lui apprendre les bonnes manières.