II] Suite de La Campagne de l'Espoir

Arkar observais tout cela avec attention, il ne comprenait pourquoi tout le monde s'était agité (et lui aussi) lorsque les gardes parlèrent a Johannes. Ni leur attitudeen repartant. Il se mit derrière et suivis le groupe, penseur.

Kay écoute tour à tour les paroles des intervenants puis finit par reprendre la parole.

" Bien nous ferons comme le désire la majorité de la compagnie, il faudra juste que certains ici calment leurs ardeurs lorsque nous aurons rejoins des contrées plus civilisés. "

L'agitation provoquée par le désaccord tira Gimgor de sa rèverie. Ce nain, Khagazin, semblait ne pas être dénué de bon sens. Il serait préférable d' éviter les routes de l'empire la nuit... et pourquoi éviter une bonne auberge, ils ne transportaient pas de diamants (HRP: ni d'anneau unique.. désolé c'est mauvais je sais...), il dit:

-Et bien messieurs, il semble que l'affairrre soit rréglée, nous parrtons verrs le village le plus prroche. Dépéchons nous, la nuit va bientôt tomber.

Le ciel, déja rougissait, la campagne alentour semblait s"endormir et Grimgor tira une autre bouffée sur sa pipe. Il regarda aux alentours et vit le sourire de Körnil, se renfrogna et dit:

- Evitez ce sourrirre lorrrsque nous serrons en ville, on ne rrrigole pas avec les bêtes noirres ici. Et ça n'a rrrien a voirr avec la superrstition[color=red]

Khazagin écouta Johannes, faisant visiblement un effort de concentration pour suivre l’esprit tortueux du jeune tiléen.
Une compagnie de soldat…mais ou est ce qu’il va chercher des campafouillades pareilles ce petit ? Mais il n’a pas tort, une compagnie ne serait pas inquiétée…. général les soldats n’ont pas de sous et savent se servir des armes qu’ils transportent…quoi que pour certaines personnes ici ça restera à prouver…non, il vaudrait mieux qu’ils n’aient pas à le prouver.

Khazagin se gratta la barbe tout en avançant. Son bâton martelait la terre et sonnait a ses oreilles comme une musique militaire…du moins, cela lui faisait penser a ça. Les rouages de la logique de cette proposition se mettaient lentement en place.
Une compagnie…marchant vers le nord et les terres désolées…oui…mais une telle diversité raciale…et dans quel but précis ? Nous ne portons pas de blason ou autres insigne particulier. Une compagnie devrait en avoir…

Khazagin se tourna vers Johannes, toujours en avançant

Dites moi, vous parlez de compagnie et de rôles a jouer. Pourriez vous nous en dire un peu plus ? Car nous ne disposons pas d’étendard ou uniformes ni même de quelques chose nous permettant de nous faire passer pour membre d’un corps de troupe. Et puis notre diversité de race n’est pas pour jouer en notre faveur….

Khazagin cracha son brin d’herbe
Saloperie d’herbe amère…

Il se redressa
Alors , qu’en dites vous ?

Johannes écouta avec attention les autres et se dit que la plupart devaient aimer la concision... . Pas de chance pour eux, s'il fallait jouer un rôle, alors autant le détaillé au maximum, que personne ne se trompe. Mais il faudrait faire simple pour la même raison. Rude exercice. Il prit un petit moment pour réfléchir et répondit à Khazagin.

"Eh bien..., on pourra toujours changer les choses mais je pensais à une petite troupe levée par deux jeunes nobles du nord dans le but de recouvrer leurs bien, peut-être... . Sinon, nous pourrions nous faire passer pour des mercenaires recrutés par des nains pour défendre leur montagne, il me semble qu'il y a pas mal de grabuge là-bas aussi... . Mais si nous choisissons cette option, je pense que vous autres développerez mieux l'idée que moi... . Même si le fait de voyager avec des elfes vont à son encontre... ."

Il prit un peu de temps et se gratta le menton avant de reprendre.

"Mais pour ce qui est des deux nobles, j'ai ma petite idée... . Disons que Kay et moi sommes cousins, nous connaissons tous deux l'étiquette et je pense que nous pourrons nous débrouiller... . Nous avons été contraints de quitter nos quelques terres lors des derniers... troubles et sommes partis à la recherche de coeurs valeureux pour recouvrer nos bien. Les nains sont réputés pour être de bons combattants et aurons été choisis pour leur résistance et leur valeur. Pour ce qui est des elfes, ils font d'excellents éclaireurs et je ne pense pas qu'un noble s'encombre de l'animosité entre ces deux groupe connaissant leur propres qualités... . Les autres guerriers forment le gros de la troupe, ainsi donc ne reste-t-il que la présence d'un scribe et d'une femme parmi le groupe."

Johannes reprit un peu son souffle et laissa le temps aux autres de suivre sa logique tandis qu'il poursuivait ses réflexions.

"En ce qui concerne Arellys, nous pouvons très bien la présenter comme une soeur ou cousine de l'un d'entre nous."

Il désigna Kay de la tête.

"Et pour le scribe, il pourrait bien être présenté comme l'un des plus suivants fidèle de l'un de nous deux, ou bien seulement comme un homme rentrant chez lui, ayant l'excellente idée de se mettre sous la protection de la troupe."

Il prit un petit temps de répit, en profitant pour observer la réaction des autres.

"Enfin, ce n'est qu'une idée... à vous de voir si vous souhaitez faire ainsi ou non. Mais à mon humble avis elle nous offre l'avantage de nous protéger de la plupart des brigands, si c'est réellement ce que vous craignez"

Khazagin écouta tres attentivement l'explication du tiléen, hochant la tête tres souvent, et marquant sa désaprobation quelques fois par quelques grimaces.

En ce qui concerne le scribe, il serait bien plus facile de le faire passer pour un simple domestique, autant avoir des nobles crédibles.... Et quant a arellys...ma foi cousine ou soeur, pourquoi pas lui demander ce qu'elle préfèrerait non?

Khazagin se tourna vers la jeune bretteuse.

Qu'est ce qui te plairait petite? Que voudrais tu jouer dans cette farce?

Khazagin garda le regard fixé sur l'estalienne.
Couilles de troll, avec cette rapiere au coté et cette mule, comment la prendre pour une jeune noble?

Arellys écouta attentivement ce que disaient Khazagin et Johannes. Elle se demandait pourquoi il fallait toutes ses supercheries, alors qu'ils n'étaient finalement qu'un convoi funéraire. Mais comme elle n'avait pas beaucoup d'expérience de ce genre de choses, elle ne dit rien à ce sujet.

Elle répondit à Khazagin:

- Yé né pense pas pouvoirr passer pourr oune noblé, encorre moins avec ces vêtements. Parr contrre, yé pourrais passer pour oune domestique. Yé trrouvérrai sans doute oune rrobe simple au prrochain village et yé l'enfilerraé parr-dessous mon arrmourre. Quant à mon arrme, yé la cacherai à porrtée dé main dans la charrette. Qu'en dites-vous?

Arkar eu dut mal a suivre le language de Johannes, il n'était as habitué a des personnes qui ont si bien la réthorique (=l'art de parler).

Je préfèrerais passer pour un fidèle a l'un de vous deux en désignant kay et Johannes

Ce n'est pas que l'idée de servtant ne me plait pas, mais je ne souhaiterais pas m'abaisser a ce niveau de peur d'être a jamais traité comme tel.

Il posa alors son épée simple sur la charrue (?!) et resta a coté de Johannes. (hrp: petite transition en PV) Il écouta attentivement ce qui allait suivre...

Johannes retint un rire en écoutant la diestra. Il pouvait voir où menait sa proposition.

"J'en dis que c'est une bien grande farce pour rassurer en quelques-uns. Mais vous savez, nous n'avons pas à trop nous ennuyer avec cette histoire... . Je pense même que nous devrions rester naturels aussi longtemps que possible."

Il laissa les autres assimiler cette information.

"Cela nous évitera de trop surjouer nos "personnages" ou de faire trop de faux pas. Non, ce que je tentais d'expliciter c'est les raisons pour lesquelles quelques brigands ne devraient pas se risquer à nous attaquer ainsi que comment nous pourrions répondre à la plupart des questions que l'on pourra nous poser... . Laissez simplement Kay et moi faire notre travail si le besoin se présente. De toute façon, nous aurons besoin d'éclaireurs et je suis certain que nos amis elfes se proposerons pour ce travail."

Il reprit à nouveau son souffle, décidément, c'était sa journée.

"Mais je pense que les brigands sont le cadet de nos soucis pour l'instant. Allons, continuons avant qu'il ne fasse nuit... ."

Gorak ecouta les belles paroles debitées par Johannes en fronçant parfois les sourcils ... Il y avait derrière tout cela une logique qu'il n'arrivait pas à comprendre !

Un joli conte pour enfant ... la belle troupe de mercenaire qui part à la reconquête des terres de deux nobliaux !
Restons sérieux ! Savez vous ou nous sommes? Je vous l'apprend peut être mais l'Empire et la race Naine sont quelque peu amis. Aussi pourquoi ne pas leur dire la vérité ? Ou tout du moins, une vérité.
Nous autre Nains accompagnon Karuk pour qu'il puisse donner des funérailles digne de ce nom à son ami.
Pour le reste, il suffit de dire que vous autre êtes une troupe de mercenaires que nous avons payé pour assurer notre sécurité ... Les beau parleur tel que Kay ou Johannes n'auront qu'a prendre la parole pour expliquer à ceux qui le demande qu'ils sont les chefs de la troupe de mercenaires.

Cela est à mon avis plus simple à mettre en place ..

Arellys fut soulagée de voir que quelques-uns pensaient comme elle. Les faux-semblant ne pourront que compliquer les choses. Et après tout, elle était effectivement une mercenaire payée pour participer à cette aventure...

- Yé souis tout à fait d'accorrd pourr qué l'on garrde nos identités et nos rrôles. Yé pense qué cette histoirre sérra déjà assez compliquée comme célà.

Johannes se mit à rire de bon coeur après avoir écouté ses deux compagnons. A tellement vouloir rassurer quelques brebis égarées et les convaincre que les loups préféraient éviter de croiser des mâtins, il avait tellement grossit les traits que d'aucuns l'avaient pris au mot. Ca lui apprendra à être concis la prochaine fois! Il mit donc un genou à terre mais ne poussa cependant pas la farce jusqu'à baiser les mains de Gorak.

"Heureux de t'entendre mon ami, je crois bien que tu as su résumer en quelques mots le fonds de ma pensée! Je vous prie me m'excuser si vous vous êtes mépris sur mes propos, je voulais simplement rappeler que les créatures qui rôdent dehors sont moins impressionnées par des hommes en armes que quelques couards de brigands... ."

Il sourit à l'ensemble du groupe, le parcourant du regard pour s'assurer que tous l'avaient bien compris cette fois-ci.

"Et comme vous l'avez dis, certains d'entre nous sont particulièrement doués pour affab... détourner la défiance de nombre de personnes... . De toute façon, la vérité à toujours été la meilleure des salades à sortir aux sceptiques... . Enfin, si on sait l'assaisonner correctement du moins."

Johannes adressa un léger clin d'oeil à l'assemblée. Et poursuivit, souriant.

"Maintenant, continuons si vous le voulez bien, et si vous tenez tant à vous prévenir de tous dangers, que ceux qui le veulent ouvrent la voie."

Théâtral, il fit volte-face et reprit la route. Il espérait avoir été clair cette fois-ci. Ces années dans la troupe ne l'avaient toujours pas habituer à la simpliciter de la plupart des "petites gens" mais il savait l'apprécier à sa juste façon.

Khazagin commenca a perdre pieds. Tout le monde parlair de tout et de rien, de stratégie ou de ruse et on changeait d'idée comme de chemise. Il décida donc de laisser faire les humains et de ne plus se préoccuper de tout ce bazar. Si on lui demandai son avis il le donnerai mais pour le moment il ne voyait pas l'intérêt d'ergotter plus avant sur le sujet.

Ces humains...que de paroles. Je me demande comment il font pour se rappeller même de ce qu'ils ont bien pu dire a telle ou telle personne. Quelle race a part....des qualités pourtant...si ils étaient plus calme. M'enfin bon...va demander a une chevre de pondre des oeufs aussi, Khazagin tu réfléchis a vide.

Il rajusta la corde du carquois qui lui pendait a la ceinture, elle le blessait un peu, et resséra les sangles de sa gideciere, qui frottait contre son arc, enroulé dans la couverture.

Je vais devoir me trouver un peu de graisse pour que la corde ne s'humidifie pas trop,sinon elle casserra a la premiere décoche. Et du fusain aussi..
Il se retourna vers le groupe.

Quelqu'un a t"il de la graisse? Ce soir j'aimerais en passer sur la corde de mon arc...

Kay écoutait la conversation, un léger sourire apparut sur ces lèvres en entandant Khazagin parler de son arc, puis il reprit la parole.

" Peu importe la version à laquelle vous voulez vous en tenir, il est juste important que nous soyons tous d'accord sur la vérité ou le mensonge à dire aux cas où des curieux s'intéressent de trop près à notre convoi.
A nous de trouver la meilleure manière de leur faire comprendre que nous ne transportons rien de valeur, monétaire j'entends, avec nous."

Grimgor somnolait de plus en plus en écoutant les paroles vaines que chacun semblait si prompt à prononcer, surtout ce jeune noble qui, en plus de ne pas avoir la langue dans sa poche, semblait doué d'une seconde nature pour ce qui était des grimaces et autres gestes thétralisés:

-Maitre Visconti, c'est cela votre nom je crois!, si vous vous agitez comme une pucelle naine en chaleur devant le pauvre homme qui nous demandera ou nous allons, non content de lui refiler un bon mal de crâne, celui sera surement tenté de vous passer une lame au travers du corps! allons donc trèves de bavardages inutiles! Nous transportons un cadavre, les mouches n'attirent pas les brigands!!! Sans vouloir être grossier, la meilleure manière de faire comprendre aux curieux ce que nous transportons c'est de le mettre en évidence!!

Il hocha la tête en direction du cadavre. Puis, tranquillement, il tira une dernière bouffée sur sa pipe, retourna sa pipe, la frappa d'un coupe léger contre le rebord de la cariole et la rangea dans sa besace

Johannes sourit en entendant ces propos, il appréciait l'humour du nouvel arrivant mais ne lui répondit pas. Il lui tournait le dos de toute façon, continuant sa route. Il marchait lentement pour laisser les autres le rattraper s'ils le désiraient.
Il s'échinait depuis quelque temps à faire comprendre aux autres qu'un village représentait un lieu bien moins inhospitalier que quelques sombres sentes de nuit, et ce que l'on croise quelques brigands ou non.
Il ne souhaitait pas continuer à parler pour ne pas être écouté. Il les avait écoutés lui et même répondu, mais c'était apparemment sans importance.
Des brigands s'attaquent rarement à une quinzaine d'hommes armés au contraire des bêtes, et, s'ils croisaient des personnes trop curieuses, ils devaient désormais savoir pouvoir compter sur quelques-uns d'entre eux pour écarter tout problème.
Il l'avait dit de maintes façons différentes et se serait pris pour un vieux bougre gâteux si seulement les autres l'avaient entendu.

Tu radotes mon vieux Johannes, tu radotes papi... . Qu'ils décident ce qu'ils veulent. Boire une bière autour d'un bon feu n'a jamais tué personne et il serait bon d'apprendre les dernières nouvelles dans une auberge.

Il jeta un fugace coup d'œil en arrière voir s'il était suivit puis scruta le chemin tandis qu'il avançait. La nuit n'allait pas tarder à tomber... .

Le nordique semblait plus calme depuis quelques instant. Il n'écoutait les paroles de chacun que d'une oreille, préférant se tenir à l'écart de la conversation. Il s'avança pour suivre ceux qui étaient déjà engagés sur le chemin, effectuant des mouvements avec son épée.

Erestor suivait la conversation avec grand intérêt, et il ne pouvait s'empêcher de rire lorsque ses compagnons se chamaillaient afin de savoir où il passerait la nuit. Après un instant, il dit à Mellion:

"De toute façon, nous deux, cela nous est égal, nous connaissons, aussi bien les nuits passées à l'auberge, qu'à la belle étoile".

Mais lorsqu'il entendit Khazagin parler de Mellion et lui comme étant des "enfants", son sang ne fit qu'un tour, et dégainant l'une de ses dagues, se dirigea prestemment vers le nain à grandes enjambés, bien que Mellion essaya, sans succès, de le retenir. Il plaça sa dague sous la gorge de Khazagin et lui parla alors d'un ton sec et surtout très agressif:

"Sachez, espèce d'ignorant fabulateur, que Mellion et moi avons combattut ces vils Hommes-Bêtes pendant près d'une dizaines d'années. Lui et moi avons vu périr sous nos yeux, des dizaines voire même, des centaines des nôtres. Mellion a même perdu sa mère sous leur coups."

"Question Peaux-vertes, nous sommes peut-être tous à égalité, mais je ne vois personne dans notre confrérie qu'y aient autant d'expérience concernant ces vils créatures autre que Mellion ou moi-même. Ainsi donc, vous êtes dorénavant priez de tenir votre langue et ce en quoi que ce soit nous concernant. Est-ce bien clair?"

Puis se tournant vers Johannes, il lui cracha ces mots au visage:

"Quant à vous, "mon ... Prince..." vous m'accusez de vouloir apporter que des ennuis à notre confrérie, mais vous ignorez tout de ma vie. Vous ignorez tout du pourquoi du comment j'ai été recueilli par les Elfes. Vous ne savez pas ce qui est arrivé à ma famille et à mon village. Alors je vous prierais de faire taire votre grande bouche et de ne plus l'ouvrir à ce sujet. Est-ce bien compris?"

"Vous qui êtes toujours là à jouer votre grand chef, sachez que vous ne valez même pas la moitié d'un enfant elfe au combat."

Après cette altercation, Erestor présenta ses excuses au groupe, Johannes et Khazagin excepté bien entendut. Il était entré dans une telle colère qu'il en avait du mal à se calmer. Après un moment de silence, qu'il mit à profit pour reprendre une respiration plus calme, il reprit:

"Je vous raconterez, à l'occasion, se qui c'est passé dans mon village. Vous comprendrez alors peut-être pourquoi j'ai réagi ainsi devant ces patrouilleurs. Cette histoire arracherait surement des larmes aux yeux de tous ici, même à notre Kolgoth. Mais pas maintenant, je suis encore trop énervé pour cela".

Puis, il s'éloigna du groupe en direction du bord de la route. Une fois près du bas-côté, il se laissa choir et éclata en sanglots.

Ces imbéciles de Johannes et de Khazagin, l'avait obligé à revivre les jours les plus sombres de son existance. Il ne pensait pas que ses nouveaux compagnons lui referait revivre cela. Pourtant, il se trompait.

L'elfe faisant son cirque, khazagin le regarda fixement dans les yeux

Et que comptez vous faire avec cette dague, JEUNE elfe? Comptez vous faire étalage de votre peu d'éducation ou comptez vous m'occire? Dans ce cas je voudrais vous mettre en garde, ne portez pas aussi haut vos coups que vous placez votre sensiblité, vous me ratteriez de trois bon pieds... A voir vos réactions je en peux que m'enfoncer davantage dans mon jugement, vous êtes un enfant...mais peut être irresponsable, ce qui me laisse penser que c'est peut être pour cela que vous n'êtes pas chez vous, vous n'avez pas les capacités requises pour être l'un des gardiens de votre peuple....peut être vous ont ils jugés trop impulsifs et incapable de garder votre calme? Vous parlez de guerre contre les hommes bêtes? Il est étrange que vous ayez été obligés de les combattre au corps a corps mon enfant; d'habitude les vôtres se comptentent de les tirer à vue...je n'en déduit que la pietre éfficactié de vos pisteurs...laisser s'approcher ainsi des bêtes de vos villages....

Khazagin prit un air encore plus mielleux

Je vous félicite de vos talents.
Laissant l'elfe s'expliquer de son comportement, il attendit avant de poursuivre.
Puis s'adressant au groupe

Nous devrions peut etre revoir notre jugement sur le fait de les envoyer en éclaireurs, ils n'ont pas l'air de s'y connaitre beaucoup.

Regardant erestor partir pour pleurer dans son coin, khazagin haussa les épaules et s'approcha de Johannes
(PV)
HRP:tout est du RP, pas de l'irl je précise^^

Gorak secoua la tête et lacha quelques mots en Khazalid. Au vu du ton employé, cela ne semblait pas être des félicitations ...

C'est exactement le genre d'attitude qu'il vous faudra eviter dans une auberge mon jeune amis.
Rangez donc votre couteau à beurre et votre si déplacé orgeuil. Personne ne remet en question le fait que vous ayez souffert, ceci étant, vous non plus ne savez rien de nous, allors s'il vous plait, ne faites pas comme si vous êtiez le seul à avoir souffert !

Gorak repris la route vers le village sans se soucier des reactions de qui que ce soit d'ailleurs... marmonant en Khazalid dans sa barbe.

...

...

...