Après la découverte macabre

Grimgor se raidit, il n'aimait pas bien ça. Il se jucha sur la carriole et saisit sa hache et son bouclier. Il scruta la route pour voir si rien d'autre n'apparaissait.

-Prenez garde sur les côtés, surveillez vos arrières, nous devrions nous disposer de telle manière à ne pas nous laisser surprendre, protégez vous par vos boucliers ou n'arrétez pas de bouger, nous faisons des cibles parfaites pour des projectiles avec cette forêt. Ce ne sont peut être que des paysans, mais vu les évènements récents nous devrions être sur nos gardes. Une caravanne si bien gardée attire la convoitise


Sur ce il sauta a terre, et regarda, l'air inquiet, les ombres de la forêt.

HRP: forêt tout prêt, nain inquiet!

Johannes inspira brièvement, apparemment chacun souhaitait y aller de sa propre initiative et cela risquait de ne faire qu'aggraver les choses au final.

"Prenez donc le corps du défunt et mettez vous à couvert dans les bois, ils auront alors plus de difficultés à vous piéger si leur intentions sont vraiment hostiles. Nous reviendrons vous chercher si la voie est libre."

Il démonta alors et prit Patience par la longe, faisant quelques pas vers Arellys.

"Prrenez soins d'elle yé vous prrie, yé rréviens dès que possible... ."

Il cru remarquer un léger mouvement de recul de la part de la jeune femme et ne s'y attendait pas, certes elle lui avait dis ne pas spécialement aimer les promenades à cheval mais de là à en avoir peur... . Enfin il était trop tard maintenant et ne savait trop à qui pouvoir le confier sinon, il ne pouvait la laisser au tonnelier en qui il avait aussi confiance puisque celui-ci se chargeait déjà de l'enfant... .

Il fixa les beaux yeux sombres de la jeune femme un instant avant de repartir rejoindre Gorak d'un pas égal. Il posa la main sur le petit ronchon aux courtes pattes alors qu'il le dépassait et lui fit signe de suivre le chemin dans les bois. S'ils pouvaient éviter de se faire repérer, cela pourrait leur être utile... . Il tenait déjà sa main gauche bien en main et scrutait les alentours.

Arellys pris les rênes du cheval du Tiléen, mais cela ne l'arrangeait pas. Cette grosse bête idiote allait la gêner s'il fallait combattre et elle était tellement grande qu'elle lui bouchait la vue sur la droite de la route.

Elle rendit son regard à Johannes et lui fit un signe de tête affirmatif. Le chevaux n'avaient jamais été sa tasse de thé et elle s'en méfiait. Ceci dit, elle ne savait pas pourquoi ils lui faisaient cet effet, car elle n'avait jamais eu de problèmes avec eux.

Lorsque le Tiléen s'éloigna, elle vérifia que la longe n'était pas fixée au mors mais à la muserolle de la bride de la jument. Elle l'approcha de son âne afin de voir s'ils s'entendaient, ce qui avait l'air d'être le cas. Sebastian était très doux, avait une grande expérience des voyages et ne s'effrayait de rien. Elle attacha Patience à la charrette à côté de lui en se disant que s'il se passait quelque chose, elle serait moins gênée et que son âne se chargerait de rassurer la jument.

Elle se placa un peu en retrait, ainsi sa vue était dégagée sur les côtés et l'arrière de la route. Elle ne dégaina pas, mais se tint sur ses gardes.

Khazagin rabatit sa cape sur l'enfant.

C'est pas parcequ'on risque de se faire trouer la panse que faut se laisser avoir froid....

Le tonnelier se déplaca sur le coté gauche de la route, pret a se jeter dans les fourrés, il pourrait y laisser l'enfant en sécurité et revenir aider ses camarades. Il prit soin de ne pas etre gené par la charette, pas la peine de se prendre un coin de roue si il fallait réagir vite.

Il assura sa prise sur l'enfant de son bras gauche.

Grimgor voyait la tension monter autour de lui, pour se rassurer il dit à Khazagin qui se trouvait tout près:

-Cela fait longtemps que je n'ai point combattu avec d'autres nains! Célébrons au moins cela, au milieu de l'adversité les derniers d'entres nous peuvent encore se serrer les coudes! Et il serait dommage qu'un nain meurt aujourd'hui! Que ne donnerais-je pas pour me battre en terre connu plutôt que face à cette forêt! Elle me rappelle de mauvais souvenirs...

Khazagin regarda le guerrier. Le petit homme avait l'air d'avoir vu de nombreuses échauffourées.

Je dois dire que je ne suis pas homme de guerre. Je ne dirais pas que je ne sais pas me battre, car cela serrait fort éloigné de la vérité, mais en même temps cela n'est pas pour autant que j'apprécie la mêlée.

Le tonnelier resséra la cape sur le visage du gosse d'une maniere toute paternelle. Une bataille ne le mettrait pas a son avantage, il n'en supporterait pas beaucoup plus.

Mais il est vrai que quitte a mourir je préfererais etre chez moi..

Mais en même temps ca n'a jamais fait partie de mes priorités.

Le nain resta aupres de ses compagnons de route, le nombre est toujours sécurité.

Grimgor sourit:

-Croyez moi maitre tonnelier, heureux sont ceux qui ont connu paix et vie confortable auprès des leurs... je ne me bats que par nécessité, on fait ce que l'on peut dans ce monde (il s'assombrit) ou ce que l'on vous amène à faire...

Ainsi, Kolgoth, Gorak et Johannes partirent en éclaireur. Les autres membres de la Confrérie écarlate regardèrent les trois personnages disparaitre dans la forêt dense et peu accueillante.

Karuk avait vraiment envi de suivre ses amis, mais le corps du Nain qu'ils convoyaient était son fardeau et son ultime responsabilité, il ne pouvait le laisser. Il se mis donc près des deux autres Nains et commencait à discuter avec ses derniers tout en observant la forêt.

Tous les membres qui restèrent près du chariot, s'organisèrent et se mirent en position d'attente et de défense. Elythian, Bartold et Wilhem se mirent près de la cariole et observaient la forêt armes sorties.

Le temps semblait long, très long... Même les chevaux sentaient la tension et n'étaient pas tranquille. Voilà plus d'une demi-heure que les trois téméraires se sont enfoncé dans la forêt...

HRP:

Pour l'instant rien ne se passe, vous pouvez jouer les conversations et le RP de l'attente. Une partie PV est ouverte pour les 3 héros téméraires et celon ce qu'il se passe, la campagne évolura. Mais je vous invite à jouer la tension et les conversations possibles en attendant...

Merci

Khazagin attendait toujours que ses compagnons reviennent. Son inquiétude grandissait, comment trois gaillards costauds et sachant se battre ne revenaient pas alors que seulement deux hommes étaient sensés leur faire face? Ou alors y avait il d'autres hommes cachés et ils étaient tombés dans une embuscade méticuleusement organisée?

Le tonnelier se rongeait les sangs mais il le cachait derriere un énervement de facade.

Couilles de couilles de cendres et sang de troll! Mais qu'est ce qu'ils font ces cagouilles? Ils vont me faire prendre froid au gamin! Pourtant c'est pas faute d'avoir un nain avec eux pour leur mettre un peu de plomb dans la cervelles a ces couillons de grandes pates!

Misere de misere pourvu qu'il ne leur soit rien arrivé...et dire que j'ai laissé ce gamin de tiléen partir tout seul alors qu'il est pas plus gros qu'un petit criquet!

Khazagin s'assit sur une grosse piere sur le bord du chemin. Il abserva ses compagnons de voyage et surtout l'elfe: que voyait il de plus? Pourquoi tenait il son arc si serré? Les elfes étaient réputés pour leur vision et leur ouïe mais dans ce cas y avait il réellement quelque chose?

Ou alors je me monte le bourrichon , mais en tout cas c'est pas bon ni pour mes nerfs ni pour mon coeur.

Khazagin se prit une petite lampée d'alcool.

Khazagin se retourna et foudroya Körnil du regard

Si seulement tu avais été plus épais et m'avais parru plus mur je t'aurais bien cogné, lavette. Mais maintenant je vois que tu n'es en fait qu'un pauvre biquet qui ne veut pas qu'on lui fasse peur, je t'apporterai une petite lumiere ce soir avant de t'endormir!

Le tonnelier jura en khazalide.
Puis comme l'humain ne répondait pas, il retourna s'assoir sur sa pierre, furieux qu'un gars qui ne s'était en rien investit et n'avait fait que suivre les autres ait eu l'audace de tenter de le rabrouer.

Ce petit fieleux la ne me disait déja pas grand chose, mais maintenant ce ne me dérangerais pas de le laisser au prochain village. Des gars comme ca c'est soit des voleurs soit des assassins.

Khazagin fixa le jeune impertinent jusqu'a retour de ses compagnons.

Grimgor scrutait l'horizon, inquiet mais calme. La forêt ne semblait pas bouger. Il dit:

-Un peu de calme vous autrrre! s'énerrver ne rrrime à rrien, il vont bientôt rrevenir, ils vont bientôt rrevenir..."

Mais il n'arrivaient pas, et l'attente se faisait longue...

Préparrrez vos arrmes au cas ou, si on nous attaque nous devrrrons fuire dès que nous le pourrrrons. Pourrquoi ces crrrétins ont-ils voulu quitter le grrroupe??

Au bout de quelque temps, Johannes et ses camarades refirent leur apparition et rejoignirent le groupe. Il était un peu contrarié de voir ses compagnons autour de la charrette, apparemment sans aucun guetteur placé devant la troupe ou sur ses flancs, s'ils avaient été attaqués... . Une fois à portée de voix, le tiléen prit la parole.

"Ils sont au moins cinq avec chiens et... chevaux. S'il s'agit bien des brigands dont les chasseurs nous ont parlés, il va falloir nous organiser si nous voulons poursuivre par la route."

Il laissa les autres assimiler ces informations et jeta un oeil à Kolgoth et Gorak, attendant qu'ils manifestent leur approbation d'un quelconque signe de tête. Ils avaient pu discuter un peu sur le chemin du retour.

"Peut-être qu'avec un ou deux éclaireurs progressant dans les bois le long de la route, deux ou trois personnes sur chaque flanc, une ou deux fermant la marche et le reste devant... ."

Il espérait que cela suffirait et rejoints Arellys, lui souriant alors qu'il reprenait Patience par le licol.

"Grazie senorita."

Il monta alors et se plaça en tête de la troupe d'où il espérait avoir une bonne vue sur ce qui pouvait les attendre du haut de sa jument.

Körnil pris alors son paquetage et entrepris de pénétrer dans la foret pour partir en reconnaissance, des brigands serait certainement un moindre mal en comparaison de devoir supporter le nobliaux étranger et l'outre avinée miniature qui lui sert d'ami.

Après avoir jeter un oeil a Gorak et lui avoir fait un clin d'oeil entendu, il dit : "Comme au bon vieux temps à Nuln hein Gorak ? Sauf que la merde de rats des rues est remplacée par des brindilles et des feuilles..."

Sur ce il pénétra dans la foret dans la direction d'où était revenu Maître Visconti et ses disciples.

Grimgor qui se tenait à l'avant répondit:

- Trrès bien, vos suggestions me semblent sages maîtrres Visconti, je prropose que ceux qui disposent de boucliers se placent surrr les côtés afin de prrotéger le rreste du grroupe des prrojectiles éventuels. POurr ma parrt je prrrendrai le côté gauche.

Sur ce il se place du côté gauche de la caravanne, mettant en évidence son bouclier, sur son flanc, afin de parer à toute attaque.

-Je prropose que nous nous mettions vites en marrche, en rrestant imobile nous jouons en leur faveurr. Déplaçons nous rrapidement et surrrveillons nos flancs et nos arrières. En cas d'alerrte, crrrier, nous arreterrrons la carravanne et nous mettrrrons en position de défense.

Gorak vit Kornil se dirigé vers lui et aller droit vers la foret. Il jeta un oeil à la troupe avant de lancer :

Nous allons longer la route mais à travers les bois ... si les traine savatte ont décidé de nous tendre une embuscade, on se repliera pour vous prevenir.

Puis plus discretement à Kolgoth :

Prend soin de Karuk et de la troupe mon ami ... on se revera à la bataille !

Gorak tourna les talons et s'enfonca dans la foret.

Khazagin sera l'enfant contre lui, un combat avec le petit dans les bras était bien sur hors de question mais ne pas savoir d'ou viendrait l'attaque allait le mettre en plus grand danger encore, pas moyen de prévoir.

Je vais me mettre a proximité de la charette. Si on nous attaque du coté gauche je mettrais l'enfant dessous, si on nous attaque du coté droit je le cacherais dans un fouré et je reviendrais vous aider.

L'anxiété commençait a percer la carapace émotive du nain. Il n'aimait pas les batailles, et encore moins les batailles contre les humains. Massacrer ds gobelins était juste et normal, mais des êtres civilisés s'entre tuant, il y avait la quelque chose d'obscene.
Le gamin dormait toujours. Le tonnelier espérait qu'il n'aurait pas a le réveiller.

Pitchounet, c'est pas ta journée....oh non..

Le nordique hocha la tête en direction de johannes, se déplaçant pour prendre place à l'arrière de la caravane. Gorak lui adressa alors quelques mots et il inclina légèrement la tête en frappant sa poitrine du poing avant de le regarder s'éloigner avec Körnil.
Il se déplaça alors à l'arrière du petit groupe ;
Je resterai à l'arrière du convois
Il posa son épée sur son épaule avant de prendre de nouveau la parole ;
Vous avez raison, nous devons nous dépêcher....

Arellys fut soulagée de voir revenir les trois hommes. Elle détacha la jument et la tint par la longe, en attendant que Johannes vienne la récupérer.

- Dé rriéen, Señor.

Elle alla se placer à l'arrière de la charrette, derrière son âne et aux côtés de Kolgoth.

HRP: Je dois attendre les réponses de certaines personnes en MP pour continuer correctement...

En attendant, voici ce qui se passe pour l'instant (si vous voulez faire du RP, c'est sans PB )

Les combattants du groupe s'avancent et s'enfoncent dans la forêt juste à la lisière. Les autres restent près du convoit observant chaque mouvements suspects et avancant prudemment.

Elythian, Bartold et Wilhem, restèrent près de Karuk qui dirigeait la cariole. L'elfe avait encoché une flèche à son arc, pret à tirer... La Confrérie écarlate progressait ainsi tranquillement et surement...

L'enfant dans les bras de Khazagin avait perdu beaucoup de sang et à présent il s'était évanoui...

Tandis que le groupe progressait et que chacun scrutait les alentours, Johannes jetait parfois quelques regards en arrière vers ses compagnons de route. Il semblait de plus en plus inquiet quand à l'avenir incertain de l'enfant et, le temps passant, doutait de plus en plus de ses chances de survie tandis que Khazagin le serrait paternellement contre lui. Voir son ami toujours plus prompt à protéger le bambin alors que celui-ci paraissait de plus en plus proche des jardins de Morr l'affectait tout particulièrement. Il s'entêterait jusqu'au bout pour défendre le pauvre enfant et si le tiléen le respectait, il n'en voyait pas moins le vain espoir de son compagnon. Il prit donc une grande inspiration de dépit, et sourit timidement à la breteuse qui l'avait aidé à panser l'enfant, d'un sourir qu'il espérait rassurant, sans se faire trop d'illusions. Mais pour l'heure, ceux qui avaient massacré les parents du petit être semblaient rôder dans les parages et il leur fallait déjà penser à se préserver eux-même avant de pouvoir aider quiconque. Tenant sa lame de sa dextre, prêt à faire face aux tristes temps qui semblaient les attendre.

Arellys fermait la marche en silence. Elle se retournait quelques fois pour vérifier qu'ils n'étaient pas suivis.

Lorsque Johannes la regarda, elle lui rendit son sourire. Elle avait l'air parfaitement calme et sa concentration rappelait au Tiléen son attitude lorsqu'ils s'étaient battus en duel à Camp Nouveau.

Elle jetait de temps à autre un regard vers l'enfant et doutait de plus en plus de ses chances de survivre jusqu'à la prochaine étape, surtout s'ils étaient attaqués.

Le nordique restait silencieux, plissant les yeux en scrutant les environs à la recherche d'indices laissant présager une attaque.

Alors qu'il suivait le convois, son crâne le fit de nouveau souffrir le faisant s'arrêter. Il marmona quelque chose en norse avant de reprendre sa progression son visage affichant un rictus de haine.

Il sembla dés lors plus tendu, réagisant au moindre bruit et tenant fermement son arme, lui faisant décrire de larges arcs de cercle de temps à autre, semblant déçu que ce ne soit que de fausses alertes....

SUITE

Bizarremment, vous marchez des heures et progressez sur la route pendant tout ce temps sans être inquiété par une quelquonque attaque de brigands; certains d'entre vous se demandent vraiment pourquoi ils n'ont pas été attaqué...

Puis la nuit tombe, et vous arrivez tout juste dans un petit village nommé Under:

Under est une petite bourgade d'une vingtaine d'habitations, le village paraît désert et à votre arrivée vous êtes très vite interpellés par une dizaine d'hommes armés qui arrivent en trombe:


- Que faites vous dans les parages à une heure tardive ?
- Qui êtes vous ?
- Pourquoi êtes vous ici ?
- Que transportez vous ?

Les paysans en arme ne comprennent pas pourquoi vous transportez un cadavre. Ils sont très stressés et tiennent leurs armes fermement et d’un air menaçant. Après une longue négociation (que vous pouvez jouer en RP^^), vous êtes conduit à l’auberge du village : « Chez Walhen ». Mais vous devez laisser vos armes à l'entrée et votre charrue sera surveillée par la la garde de nuit.

L’auberge du village « Chez Walhen » est un établissement respectable et propre, tenu par un Halfeling plutôt jovial et très bavard.

toutes les rumeurs que vous pouvez apprendre :

L’hafeling qui dit s’appeler Edouard Ventresurpatte parle beaucoup:

- Un troll vivrait dans les marais au nord dans la forêt. Il aurait amassé de gros butins sur ses victimes. (Rumeur non fondée).

- Parfois des bandits attaques les voyageurs sur les chemins des environs. Se serait le groupe de Olaf dent cassée, une communauté de brigands recherchés dans tout le sud du Talabecland. Ils seraient une cinquantaine de personnels, Hommes, Halfeling et même quelques nains des montagnes grises. Ces brutes agiraient en plusieurs petits groupes pour plus de portées dans leurs attaques.

- En poussant un peu plus, vous apprennez que la tête de Olaf dent cassée est misent à prix. Et que certains pensent que leur quartier générale se trouverait dans la grande forêt au nord ouest de Under.

- Bill têtedure est un cousin de Edouard vivant à Wurtbad et étant propriétaire de « l’ogre glouton » une taverne où l’on mangerait le meilleurs chevreau rôti.

Voilà, les principaux ragots, vous passez donc la nuit dans cet établissement... Jouez le RP de votre journée, je continuerais l'aventure juste après...

Sachez que l'enfant a été pris en charge par les paysans du coin, mais son état est plus que critique, d'après les villageois, il ne passera pas la nuit.