KEMPERBURG

Le nordique passa une nuit peu réparatrice, il y avait trop longtemps qu'il n'avait pas dormit dans un bon lit et il eut du mal à s'habituer à ce confort. Confort relatif, sa taille l'empêchant de tenir dans le lit...

Il prit le dernier tour de garde ce qui lui permit d'être parfaitement réveillé lors du départ. Lorsque Elythian aperçu des Gobelins, le nordique grogne en songeant à ces pillards.
Le nordique semble dés lors plus tendu, effectuant régulièrement des mouvements avec son épée avant de la remettre dans son fourreau. Il reste à l'arrière de la petite troupe, les forêt proche lui rappelant des souvenirs....

Après cet dispute qui n es'est pas mal terminé, Arkar mangea quelque chose puis alla se coucher, épuisé par le début de ce voyage. Il ne tarda pas a s'endormir après avoir rangé son écritoire.

Le lendemain il se releva en pleine forme, prit ses affaires en veillant a n'avoir rien oublié et rejoignit ses compagnons de voyages. Ensuite il alla voir Kolgoth et fut un peu surpris car il ne se souvenait pas de sa si grande taille, il pensa que le géant était en pleine croissance et grandissait toujours:
"Bonjour, heu... je voulais savoir une chose, moi qui me suis pas rès souvent battus... qu'elle sensation cela fait ? enfin je veut dire de pouvoir se défouler un petit peu sur quelqu'un qui le mérite ou non ?""

Le nordique sembla surprit de cette question, il se retourna vers son interlocuteur et reconnu le jeune homme ce qui le fit sourire légèrement ;

L'avantage dans un combat, c'est que seul le meilleur survit alors que le faible est abattu. Peu importe les raisons qui ont contuit à croiser le fer, lors du combat, ont connait les intention de notre adversaire. Si tu remporte le combat tu sais que tu est le meilleurs.
Le nordique s'arrêta et fit craquer les articulations de ses épaules avant de reprendre ;

C'est donc à la fois une sensation de stress mais également d'envie de se surpasser pour vaincre car sinon c'est la mort...

La veille dans l'auberge :

Gorak etait rester atablé avec ces compagnons toute la soirée mangant silencieusement, se deridant peu à peu jusqu'a rire avec eux en fin de soirée ...
Alors que Gorak allait monter se coucher, Khazagin vint vers lui et lui adressa quelques mots discrets. Gorak et Khazagin s'installèrent à une table un peu reculée et discutèrent de longue heures ...

Le matin :

Aprés une nuit de repos qu'il juga trop courte Gorak repris la route avec ces compagnons ne faisant alors que peu de commentaires.
A la mention des Gobelins, Il se raidit légérement et defit les sangles d'attache de son piolet ...au cas ou !

Pour la veille voir ici https://lemarteaudeguerre.forumgaming.fr/viewtopic.forum?p=4183#4183


Journée:


La nouvelle que des gobelins étaient dans les environs mis Khazagin de fort méchante humeur; il tempêta pendant un long moment pour insciter les autres membres du groupe a aller "vérifier si c'est effectivement des saloperies". Il ne cessa pas de scruter la lisiere de la forêt,faisant ostentatoirement glisser sa main sur son marteau, jusqu'a la rencontre avec le groupe de chasseurs.
La situation acheva de le "foutre en rogne", et l'attitude du groupe, qui par dessus le marché comportait un elfe (!) lui donna envie de détruire le premier couillon venu.
Il fulmina dans sa barbe tout seul, vociférant de temps a autre de maniere audible, et la plupart du temps grommelant dans sa barbe des propos mélangeant khazalide et reikspiel, dans un sabir tres proche de l'incompréhensible. Il soutint Karuk dans l'idée qu'avoir abandonné les marchands était lache et indigne, pointa au nain le fait que les elfes n'avaient de toute façon pas d'honneur et que ceci était dans la continuité des traitrises de la guerre de la barbe, et que la confrérie devrait aller voir par elle même ce qu'il en était.

En se levant, Johannes prit un léger petit déjeuner et accueillit avec joie la douce pluie rafraîchissante qui commençait à tomber après un sommeil réparateur. En apprenant la présence possible de gobelins, il décida de garder le silence et se mit a scruter plus précisément les alentours.
Lorsqu'ils croisèrent les chasseurs, Johannes tiqua lorsque le tonnelier évoqua ses doux sentiments sur les elfes, les dernières tensions n'étaient apparemment pas prêtes de s'arrêter... . Il acquiesça cependant lorsque celui-ci proposa d'aller aider la famille en détresse si c'était encore possible. Décidé à ne pas partir tête baissée, il demanda toutefois quelques précisions aux chasseurs sur le nombre et l'armement des brigands ainsi que sur le lieu de l'attaque.

Kay qui avait somnolé dans la charette de Karuk depuis le départ de Kemperburg écouta quelques instants les ronchonnements de Khazagin avant de se mettre debout et de scruter les alentours en vue de détecter des traces de mouvements d'éventuels gobelins.

" Si il y a effectivement des gobelins dans les environs et qu'ils ne nous ont pas encore attaqué, c'est sûrement qu'ils sont partis chercher leurs grands frères en renfort.
Nous ferions mieux de rester sur nos gardes."

Arkar fut étonné et presque choqué (?!^^) de l'attitude de Khazagin, de toute façon le scribe ne s'y connaissait pas en elfe mais savait l'amitié qui unissait elfe et nain (Mmmh...). Au bout d'un petit moment, Arkar ne comprenait absolument plus rien aux paroles du nain et décida de le laisser se défouler si il le souhaitait. Suite a ce qui Kay, Arkar sembla plutôt curieux et excité de pouvoir voir et même se défouler sur un gobelin pour ressentir l'effet de stress que Kogltoh lui avait parlé.
En conclusion il se réfugia au milieu du groupe.

Johannes a écrit:

Il acquiesça cependant lorsque celui-ci proposa d'aller aider la famille en détresse si c'était encore possible. Décidé à ne pas partir tête baissée, il demanda toutefois quelques précisions aux chasseurs sur le nombre et l'armement des brigands ainsi que sur le lieu de l'attaque.

D'après les chasseur qui voulaient absolument partir, vu les réactions Naines. Il y avait près d'une dizaine de bandits, à cheval pour certains et bien armé: épées, arbalètes, arcs. Les chasseurs n'auraient pas eu le temps de bien examiner la situation.



- Peu après Bergamm, vous tombez en effet sur le pillage de la famille marchande, écoeurant. Les commerçants ont été sauvagement tués et les cadavres de quatre personnes, homme, femme et enfants jonchent le sol. La seule charrue qu'il y avait a été brulée. Le combat n'a pas du durer longtemps, des débrits jonchent le sol...

- Certains d'entre vous entendent des sortes de gargouillis. Johannes découvre un enfant encore vivant. Il est dans un piteux état et sous le choc. Il a l'air effrayé, ses blessures sont profondes et il perd beaucoup de sang.

- Une odeur désagréable de fumée et de chaire brulées empli vos narines...

Ce que vous trouvez après les tests de Fouille sur le lieu du crime :
. beaucoup d’objets brisés.
. La caravane transportait du cuir et du tissus.
. Il reste une épée simple, des armures de cuir que les bandits n’ont pu prendre, mais elles sont légèrement détériorées et d’autres objets sans valeur.

HRP:La suite aura lieu demain ou après demain, pour accelérer un petit peu l'aventure. Ceux qui ne pourront poster seront joués via leur fiche d'action.

Khazagin était en train d'observer le carnage et de fouiller dans les décombres fumantes,déprimé, remuant de son baton les restes calcinés et déteriorés de la caravane, ramassant quelques bandes de tissu encore utilisables, des bandes de cuir pour en faire des jambieres et un pot en terre cuite non brisé, quand il vit Johannes se pencher et sortir un bébé des décombres.

Par Grungi! Un petit bout d'homme!

Il s'approcha du tiléen et du gamin, un grand sourire béat au levres

Il est pas mignon ce drole la?

Khazagin était aux anges, la vision de ce petit être né des cendres l'enchantait.

Eh ! Couillles de loup, on peut pas te laisser la gaminot! Et pis comment tu t'appelles hein? Oui, d'accord tu sais pas parler...

Khazagin se retourna vers les autres

On le garde hein? Et on lui donne un nom hein?

Arkar ne comprenait pas une fois de plus le changement d'humeur soudaine, d'après ses souvenirs, il y avait quelques minute encore, il voyait le nain en train de bougonner et de jeter des regards partout et là il avait presque l'air de retourner en enfance.

"Je pense d'abord qu'il serait préférable de faire des pansements, ensuite pourquoi ne pas lui aménager une place dans la charrette avec des feuilles histoire qu'il puisse récuperer es forces ? "

La journée n'était assurément pas aussi gaie que prévue... . Johannes semblait particulièrement atteint par cette découverte macabre et, après avoir jeté un regard circulaire aux alentours pour s'assurer qu'il n'y avait plus de danger, s'était affairé à cherché un éventuel miraculé. L'assaut des bandits avait été d'une brutalité qu'il n'aurai jamais imaginée. Comment avaient-ils pu commettre un tel acte? Pourquoi ne s'étaient-ils pas contentés de détrousser ces pauvres gens? S'il n'en tenait qu'à lui, il serait parti à la poursuite des êtres qui avaient pu le perpétrer. Cependant, il n'avait pas l'air spécialement indisposé par l'odeur de chaire brûlée et de fumée comme peuvent le constater quelques-uns des membres les plus observateurs de la confrérie. Qui sait, peut-être s'y était-il habitué? Mais la découverte d'un survivant lui remit un peu de baume au coeur, un peu... .

Il avança lentement vers l'enfant pour ne pas l'effrayer puis le serra contre lui quelques instants, dans le but de le réconforter, enfin, autant que possible... . Il prit alors le temps de contempler l'état du malheureux. Constatant sa piteuse situation, Johannes le porta sur la charrette où il le fit s'asseoir, après s'être assurer que le corps du nain était resté dissimulé sous son linceul. Il s'éclaircit alors la gorge avant de prendre parole d'une voix dénuée de tout entrain, pour la première fois, pour la quasi-totalité des membres du groupe, depuis qu'il les avait rejoint.

"Je crois plutôt qu'il est, pour l'heure, question de le soigner que de jouer à l'oncle enjoué ou au "papa gâteau". Aussi, si l'un d'entre vous s'y connais quelque peu en médecine, son aide sera particulièrement appréciée. Et pour les autres, je vous serais gréé de bien vouloir vous rendre utiles un peu plus loin, et pourquoi pas de partir voir ce qu'il en est des brigands. Je crois que notre protégé n'a pas besoin de voir tant de monde attroupé autour de lui."

Johannes jeta alors un coup d'oeil parmi les membres de la troupe, à la recherche d'une personne compétente en plus d'être charitable. Il espérai sincèrement que ses propos ne troubleraient personne mais pensait que voir tant de monde autour de lui ne pouvait qu'intimider l'enfant désormais orphelin. Il récupéra une fiole d'alcool dans ses affaires, que portait Patience et se défit de son écharpe. Le tissu propre pourrait servir à confectionner de bons bandages... . Il revint auprès de l'enfant et s'apprêtait à désinfecter les plaies de l'enfant et préparer un garrot pour atténuer l'hémorragie. Tandis qu'il s'évertuait à soigner l'enfant, appliquant les quelques notions qu'il avait apprit sur le tas pour soigner les blessures inhérentes à son activité, le bretteur reprit la parole, chuchotant tout d'abord.

"Courage bonhomme, tu vas en avoir besoin... . Je crois qu'après avoir perdu tant de sang, il lui faudra manger un petit quelque chose, même si la faim ne doit pas vraiment l'assaillir... . Si l'un d'entre vous a un petit quelque chose à grignoter... . Sinon, peut-être me reste-t-il un peu de sucre et de pain dans mon sac et... oui, j'y pense! Arellys, auriez vous l'extrême gentillesse de m'apporter les potions qui doivent s'y trouver?"

HRP : On n'a pas de mention sur l'âge de l'enfant et ne sait pas s'il s'agit d'une fillette ou d'un garçon... . Quelques précisions supplémentaires sont les bienvenues .

Si quelqu'un de compétent veut interrompre Johannes et se charger de soigner l'enfant, qu'il ne se dérange surtout pas, sinon, il dépensera tous les points de fortunes nécessaires pour s'assurer que l'enfant se porte mieux.

Kay observait tranquillement tout le manège autour de l'enfant découvert depuis la charette de Karuk.
Puis il sortit de sa gibecière une flasque d'eau et un morceau de pain avant de descendre et de se diriger vers Johannes afin de le lui tendre.

" Tiens, même si ce n'est pas vraiment adapté, ça le calera un peu.
Je pense que nous devrions retourner à Bergramm afin d'y déposer l'enfant, il y sera plus en sécurité quavec nous dans les montagnes naines. Sans compter qu'il pourrait nous faire repérer au moment le plus malvenu."

Johannes récupéra le pain et l'eau que Kay lui avait remis et les posa à côté de lui, il n'avait pas fini de s'occuper de l'enfant et celui-ci ne devait pas avoir la tête à manger, même s'il le faudrai bientôt.

"Un grand merci l'ami. Je dois avouer que si je suis d'accord avec toi sur le fait que le garder auprès de nous ne fairait que l'exposer au danger, je reste assez dubitatif sur le fait de le confier aux bons soins des si chaleureux villageois que nous avons rencontrés... . S'il le faut, je le conduirai à Nuln, j'y ai des amis et il s'y trouvera certainement mieux. Il y recevra une certaine éducation et sera bien traité, soit en sûr."

Et peut-être aura-t-il ainsi pu trouver un peu de chance dans son malheur... .

"J'irai à cheval une fois qu'il se sera remis de ses émotions si vous le voulez bien. Ainsi j'irai bien plus vite et je sais quel chemin vous empruntez, je devrais donc vous rattraper assez rapidement. Si l'un d'entre vous souhaite m'accompagner et peut suivre l'allure, qu'il ne se gêne surtout pas. On n'est jamais de trop à courir les routes ces derniers temps... ."

Johannes continua de panser l'enfant.

Kolgoth observa un instant le carnage, balayant lentement la scène du regard. Il jura et cracha par terre en songeant au combat à sens unique qui avait certainement eu lieu ;
Seul des pleutres et des faibles peuvent tirer une quelconque fierté d'un tel combat...

C'est alors que Johannes découvrit l'enfant et sur son conseil, le nordique dégaina son arme pour tenté de retrouver la trace des bandits, envoyant valser à grand coup de pieds quelques débris se trouvant sur sa route....

Arellys eut un frisson glacé dans le dos lorsqu'elle découvrit les restes calcinés de la caravane mais elle resta parfaitement calme.

Lorsqu'elle vit Johannes prendre l'enfant dans ses bras, elle se joint à lui. Elle se dit qu'une femme s'y entendait sans doute mieux dans l'art de réconforter un gamin apeuré. Lorsque le Tiléen posa l'enfant sur la charrette, elle caressa les cheveux de ce dernier en lui parlant doucement.

Elle laissa Johannes prodiguer les permiers soins au blessé et s'en fut chercher le sucre et les potions de soin dans le sac de Johannes, comme il le lui avait demandé. Elle était inquiète quant au sort de l'enfant, surtout en constatant la quantité de sang qu'il avait perdue.

Arellys resta près de la charrette et continua de rassurer le pauvre petit. Elle bouillonnait de l'intérieur: Comment peut-on faire une chose pareille?

Johannes a écrit:

HRP : On n'a pas de mention sur l'âge de l'enfant et ne sait pas s'il s'agit d'une fillette ou d'un garçon... . Quelques précisions supplémentaires sont les bienvenues

Pardonnez mon oublie: l'enfant est un garcon d'environs 5 ans. Multiples entailles, dont une très profonde à l'avant bras. Vous sentez que l'enfant ne pourra pas tenir bien longtemps.

Description de l'enfant: blond, yeux noir, peau claire. Ses habits sont déchirés et maculés de sang. Il respire difficilement.

Divers: Bartold fourni à Johannes du tissu propre, mais ne se propose pas de le soigner. Elythian est en avant en éclaireur avec son arc pret à tirer et Wilhem surveille les environs équipé de son épée.

Karuk propose de continuer en espérant trouver un village plus loin, car le garcon ne survivrait pas jusqu'à Nuln.

HRP: la suite ce soir ou demain matin

Khazagin regarda les deux jeunes bretteurs s'occuper du gamin, et le panser. Le pauvre n'avait pas l'air en bien grande forme, et son était ne présageait pas de tres bonnes nouvelles.
A l'annonce de la possibilité de le laisser au prochain village, khazagin s'insurgea:

Couilles de troll! Comment pourrait on le confier a de parfait estrangers? Plus de sécurité? Coun de scouns, mais y'a pas plus sur que nous puisqu'on se connait bien! Comment on pourrait avoir plus confiance en quelqu'un d'autre?

Pauvre gamin, tous seul comme ca...déja qu'il a plus ses parents, c'est pas la peine de le confier a n'importe qui non plus...

D'accords on se dirige pas vers une promenade de santé, mais est ce qu'on peut abandonner ce gamin une autre fois?


HRP: mdr le nain sentimental

Voyant la jeune femme revenir, Johannes leva le nez des entailles de l'enfant, et la remercia en lui adressant un timide sourire. Il prit ensuite le soin d'observer les deux flacons, il n'était pas question d'administrer le mauvais remède à l'enfant... . Il choisit donc la potion de soins et le fit boire à ce dernier attendant d'en voir les effets. Il remercia de même Bartold pour le tissu et acheva sa tache. Il s'adressa alors à Khazagin

"Loin de moi l'idée de mettre en doute votre capacité de discernement, mais nous ne nous lançons pas dans une tranquille escapade que je sache. Des gobelins rôderaient dans les parages et la route présente bien des dangers, comme nous avons malheuresement pu le constater... . Et vers quoi nous dirrigenons nous? Une forteresse montagnarde menacée par quelques dangers plus grands encore! Croyez vous vraiment que cet enfant aura de meilleures chances de survivre en nous accompagnant? De plus je ne propose aucunement de l'abandonner, mais de le confier aux bons soins d'amis auxquels j'accorde une confiance absolue, il sera bien traité je vous en assure, et si nous le raccompagnons à Nuln, Camp Nouveau et votre tonnelerie n'étant pas très loin, vous pourrez venir lui rendre visite pour le constater par vous même à notre propre retour. Mais pour l'heure, nous devons plutôt penser à assurer sa survie."

Johannes se tourna alors vers Bartold.

"Quelqu'un sait-il combien de temps il nous faudrait pour rejoindre la prochaine étape et s'il s'y trouve un médecin? J'irai à cheval le chercher s'il le faut, à moins que l'enfant ne se sente mieux."

Il offrit alors à ce dernier de quoi manger et se désaltérer un peu.

Après une courte exploration des environs, le nordique revint près de Johannes, l'épée sur l'épaule ;
Nous devrions retrouver les auteurs de ce carnage pour les faire payer.

Le berserk observa un moment Johannes et arellys prendre soin de l'enfant et le panser. Le guerier s'agenouilla et passa l'une de ses imposantes mains sur le front du banbin ;
Il faut prendre garde à ce que la fièvre ne le gagne pas.
A peine eut il terminé sa phrase que le nordique se redressa pour de nouveau explorer les environs à la recherche d'indices sur la direction prise par les agresseurs....

Arkar restait là sans trop bouger à comtempler le petit en train de se faire panser, il vit Kolgoth revenir et le rejoigna pour fouiller les environs:"

"Vous avez vu dans quel état il est ? Comment peut-on faire du mal a une personne sans défense ?? Une enfant en plus !

Grimgor était resté silencieux depuis quelques temps. Pensif il regardait agoniser l'enfant. Il l'aurait bien aidé, mais il n'avait aucunes compétences en médecine. Le gosse allait sans doute bientôt mourir de ses blessures.

-Ah, que n'avons nous un prêtre avec nous pour lui prrrodiger quelques soins! Vous avez bien raison maitrre Arkarr, et les auteurrs devraient payer! Mais nous ne pouvons les retrrrouverr sans l'aide du gosse, il faut l'emmener au plus vite, soulevons le et porrrtons le dans la carriole, morrrdieu!!!

Johannes Visconti a écrit:

Voyant la jeune femme revenir, Johannes leva le nez des entailles de l'enfant, et la remercia en lui adressant un timide sourire. Il prit ensuite le soin d'observer les deux flacons, il n'était pas question d'administrer le mauvais remède à l'enfant... . Il choisit donc la potion de soins et le fit boire à ce dernier attendant d'en voir les effets. Il remercia de même Bartold pour le tissu et acheva sa tache. Il s'adressa alors à Khazagin

"Loin de moi l'idée de mettre en doute votre capacité de discernement, mais nous ne nous lançons pas dans une tranquille escapade que je sache. Des gobelins rôderaient dans les parages et la route présente bien des dangers, comme nous avons malheuresement pu le constater... . Et vers quoi nous dirrigenons nous? Une forteresse montagnarde menacée par quelques dangers plus grands encore! Croyez vous vraiment que cet enfant aura de meilleures chances de survivre en nous accompagnant? De plus je ne propose aucunement de l'abandonner, mais de le confier aux bons soins d'amis auxquels j'accorde une confiance absolue, il sera bien traité je vous en assure, et si nous le raccompagnons à Nuln, Camp Nouveau et votre tonnelerie n'étant pas très loin, vous pourrez venir lui rendre visite pour le constater par vous même à notre propre retour. Mais pour l'heure, nous devons plutôt penser à assurer sa survie."

Johannes se tourna alors vers Bartold.

"Quelqu'un sait-il combien de temps il nous faudrait pour rejoindre la prochaine étape et s'il s'y trouve un médecin? J'irai à cheval le chercher s'il le faut, à moins que l'enfant ne se sente mieux."

Il offrit alors à ce dernier de quoi manger et se désaltérer un peu.

Khazagin prit un moment de réflexion , puis ajouta

Des amis dites vous? Qu'est ce qui nous dit qu'ils seraient mieux a même d'élever ce gamin? Une bonne éducation vous dites? J'en connais pas de meilleure que le travail de ses mains, et ca j'ai de quoi lui donner moi, ou n'importe lequel des gars de camp nouveau. Il pourrait toucher a tous les métiers et se faire une idée de ce qu'est la vrai vie, et vivre dans l'amour et la droiture que seul un gars qui travaille de ses mains peut lui donner.
Quand au médecin je ne peux qu'approuver, le pitchounet a besoin de quelqu'un de plus compétent que n'omporte lequel d'entre nous....


Pauvre petit...tous abimé , qu'il est!

La colere remplaca l'attendrissement sur le visage de Khazagin

Et si on parle d'aller foutre une bonne correction aux salopards qui ont fait ca, vous pouvez compter sur mon marteau!
Le nain avait maintenant l'air farouche, cette lueur qu'ont ceux de sa race quand ils sentent poindre en eux la rancoeur et la frustration. Khazagin était pret a se battre.

Arkar restait à proximité des autres. Et sur les propos de Khazagin il ne put s'empécher de réagir

"Personellement, si l'on veut sauver cet enfant, il vaut mieux continuer et le soigner le plus vite possible que d'aller le venger et le laisser mourir. Moi je pense que cet l'homme sur son cheval (Johannes) pourrait aller au prochain village chercher un médecin. Je souhaiterais même, si il y a de la place et si il accepte, venir avec lui." en regardant Johannes pusi en se retournant vers Khazagin
" De plus, tuer des gens pour allourdir les pertes, et laisser le petit mourrir, de plus qu'il pourrait y avoir des morts parmis nous a cause du combat, je préfèrerais éviter sa.