KEMPERBURG

Arrivée à KEMPERBURG

Le chemin est boueu, voir presque marécageux. Un vieu fermier qui travail sa terre vous regarde passer, puis retourne à ses occupations. la charrette a du mal à rouler dans cette gadou, Karuk et quelques un d'entre vous êtes obligés d'aider à pousser ou tirer la carriole.

Quand vous arrivez dans ce petit village, les gens vous regardent bizarrement. Vous pensez qu’ils n’ont pas l’habitude de voir une telle équipe. D’après les regards, se serait les Nains qui dérangeraient. Mais karuk n’y prête aucune attention.

Le village est composé de petites fermes élevant surtout de la volaille et diverses plantations de légumes. Il y a une petite maison au centre d’une place terreuse qui doit appartenir au responsable du village. A part quelques regards belliqueux, personne ne fait attention à vous et les villageois vaquent à leurs occupations. La seul auberge que vous trouvez se nomme « La belle dame ».

La Nuit n'est pas encore tombée, mais ca ne saurait tarder.

Bartold est déjà passé dans ce village.

HRP

Je pense que vous allez aller dans l'auberge, mais bon, un peu de RP avant ne fait pas de mal

Vous n'êtes pas obligé de continuer la nuit dans ce village, comme vous le savez c'est un JDR et vous êtes libre de vos actions.

P.S.: je suis content d'être de retour et de continuer cette aventure avec vous

Grimgor observa les alentours depuis sa cariole, carressant songeusement sa barbe. Le coin n'avait pas l'air très amical, ça empestait la sombre province pfrofonde impériale, mais en tout cas les paysans ne devraient pas trop pauser de problèmes, même s'il vit dans leurs regards qu'ils ne semblaient pas vraiment apprécier les nains. Il sauta de la carriole et dit à l'ensemble du groupe:

- Eeett bien, pas franchement amical le patelin! enfin, je ne pense pas que l'auberrgiste rrrefuse de gagner son pain! Ce ne sont que des paysans rremplis de prréjugés, ne nous montrrons pas aggrressifs... Miieux vaut garrder prrofile bas... Il serrait plus prudent de rrangerr nos arrmes dans nos fourreaux.

Il lança un vif coup d'oeil à Erestor.

Ensuite il recula un peu etdit quelques mots à Khazagin en langue naine.

Korutor suivit le groupe sans dire un mot, il avait les pieds plein de boue et était pressé de rejoindre un bon lit, le ventre plein !
Il continua à marcher près de la carriole et se dit :

"Ce village ne me parrait pas très accueillant... J'espère que nous le quitteront demain à la première heure et qu'entre temps il n'y aura pas d'histoire..."

Mellion suivit le groupe sans rien dire...

Arellys détacha son âne de l'arrière de la charrette et se mis un peu de côté, afin que les pousseurs aient plus de place.

Elle avait traversé bien des contrées et ne paraissait pas surprise de l'accueil des paysans. Après tout, les étrangers sont souvent source de problèmes pour eux.

Elle emboîta le pas de Gorak et se dirigea vers l'auberge.

Khazagin répondit a Gromgor en quelques mots (PV) puis pris la direction de l'auberge.
L'atmosphere du village l'oppressait et il espérait qu'un bon feu, une biere et un gros repas lui ferait changer d'avis sur la bourgade, même si les paysans n'avaient vraiment pas l'air amical.

Quand des étrangers passent dans un village, c'est toujours la même salade! On a peur, on se méfie et si on peu faire une crasse on se prive pas. La peste soit des paysans et des sots!

Khazagin s'approcha de Karuk.
Hola mon ami! Y a t'il besoin d'aide pour mettre la charette a l'abri?

Khazagin se mit sur un des cotés de la charette, balança dedans sa besace, retroussa ses manches, laissant apparaitre des avant bras épais et velus, et poussa avec les autres, aidant la roue a tourner sur son essieu.

Le nordique ne semblait pas apprécier le regard des habitants, de rage il frappa le sol du pied, envoyant des eclaboussures de boue un peu partout.
Sa tête le fit soudain souffrir à nouveau ce qui n'arrangea rien à son humeur. Il grogna avant de se diriger vers l'auberge...

Voyant Arellys faire de la place pour laisser plus de place aux pousseurs, Johannes la remercia d'un signe de tête et laissa choir sa cape sur le dos de sa jument qu'il attela à la charrette. Il déboutonna alors partiellement sa chemise et prit place parmi les pousseurs.
Les derniers évènements et l'accueil triomphal que leur réservaient les villageois avaient quelque peu refroidit sa naturelle bonne humeur, jusqu’à ce qu’il découvre le nom de l’auberge : Belladonna dans sa langue natale… . Il reprit son souffle alors qu’il poussait, étonner que si peu semblaient vouloir aider Karuk et dit, d’un ton presque enjoué :

« Eh bien, je crois que nous allons devoir dormir dans ce sordide patelin si aucun d’entre vous ne connaît un proche bled plus accueillant… . Remarquez, vu le nom de cet établissement et la si belle compagnie en laquelle nous nous trouvons (il jeta un regard cocasse vers la bretteuse), si jamais nous nous en sortons vivant, c’est que nous sommes certainement déjà tous cocus ! »

Il rit alors mais ne s’attendait pas à être suivi. A dire vrai, il comptait simplement observer la réaction de ses compagnons, histoire de savoir à peu près dans quelles dispositions d’esprit ils étaient avant de rentrer dans l’auberge. Et puis n’était-il pas qu’un sale petit tiléen pourri et gâté, après tout ???

Le rire de Johannes tira le nordique de sa rage et le fit se retourner. Il vit alors je jeune homme tenter de pousser la carriole bel et bien embourbée ;
"Peut être y a t-il des hommes charitables "songea t-il en s'approchant pour pousser la carriole

Dégageons la d'ici...

Kay rassembla ses quelques affaires puis sauta de la charrette de Karuk avant de jeter un ragard dépité à l'établissement.

" Et bien, qui a dit que nous serions plus à l'aise dans une auberge qu'à la belle étoile ? "

Khazagin a écrit:

Khazagin s'approcha de Karuk.
Hola mon ami! Y a t'il besoin d'aide pour mettre la charette a l'abri?

Karuk sourit à Khazagin et lui fit un signe affirmatif de la tête, puis il redoubla d'effort pour avancer jusqu'à l'auberge aidé de Johannes, Kolgoth, ainsi que Körnil.

Ils arrivèrent sans trop de mal près de "La Belle Dame". Karuk se décrassa rapidement et dit:

"Argg... J'espère qu'il y aura de la bière, même une pisse d'elfe me ferais plaisir, c'est pour dire à quel point j'ai soif..."

Puis il se tu, se rendant compte qu'il venait de dire une bourde en regardant les elfes l'accompagnant. Elythian le regardait l'air amusé.

"Ne t'inquiète pas Karuk, je mangerais bien une vollaile aussi poilue qu'un Nain!" dit l'elfe.

Puis ils se regardèrent et rièrent...

"La Belle Dame"


Wilhem est à l’extérieur et surveille le chariot du groupe, Karuk aimerait bien qu'une garde soit montée, vu le nombre d'aventuriers cela ne devra poser aucun problème. Karuk prendra un des tours du milieu de la nuit.

Vous entrez dans cette auberge. En ouvrant la porte, la première chose qui choc, c'est l’odeur de sueur et de terre. Le lieu ne paye pas de mine, avec quatre tables et un petit comptoir tenu par un homme rondouillard et rougeau. Seulement trois clients boivent une chope autour de l'une des tables crasseuses.

Les visages des personnes de l’auberge sont durs et fort peu aimable.

Karuk comande un plat de pomme de terre et une bière, puis le Tavernier refuse de servire de la bière aux nains, prétendant que ces derniers dénigrent les bières de l’Empire.

"Ecoutez, nous faisons un très long voyage et je souhaite boire une bière, alors si vous en avez, j'exige d'être servit!!... Compris??" Grogna Karuk, qui sous l'effet de la colère et de la fatigue accentuait son fort accent Nain...

Mais l'homme lui tenait tête et refusait de servir les Nains en bière... Karuk, semblait perdre patience et serrait les poings...

Comment réagissent vos personnages? Ils s'apercoivent que Karuk risque de craquer et de sauter à la gorge du Tavernier qui lui tenait tête...
Les trois autres clients s'étaient levés et regardaient la scène pret à réagire...

Kolgoth était devant la taverne, martelant le sol du pieds pour retirer une partie de la boue collée sur ses bottes lorsque la dispute éclata dans le bâtiment.
Le nordique fit un pas en avant et dû se baisser pour entrer dans l'établissement, il s'avança vers le tavernier ;
Les nains ne seraient pas servit dans cet établissement ?

Le ton du berserk trahissait son agacement et il grimaça lorsque ses maux de tête semblaient le reprendre alors que quelques gouttes de sueur perlaient sur son visage...

Khazagin était entré dans l'auberge miteuse a la suite de ses compagnons en rochonant dans sa barbe. Le village ne lui plaisait pas, il avait mis de la boue sur ses chausses en poussant la charette et le nom de l'auberge ne lui inspirait pas confiance.

La belle dame.....belle dame...tu parles té...déja ca a une tête de coupe-gorge, c'est miteux et sa pue....belle dame, c'est un bordel ou quoi? Et en plus, belle dame, beladone, c'est pareil, alors bon, rentre dans une baraque au nom de narcotique moi ca me fait frisoter les moustaches!

Entrant donc dans la piece principale, il jeta un regard a la ronde pour voir combien de personnes se trouvaient la. Rassuré de voir qu'en toute hypothese, il aurait l"avantage du nombre, il accompagna Karuk au comptoir pour s'envoyer une chopine par dela le gosier. Le refus de l'aubergiste commeça a lui taper sur les nerfs et son entêtement parachéva le processus. Se sentant pret a sortir son marteau pour écraser la tête de ce grand con suffisant et raciste, il se tourna vers Karuk pour voir comment celui ci prenait la chose. Mais constatant qu'il était lui aussi au bord de l'explosion,son humeur changea brusquement pour laisser place a l'inquiétude.

Etre le premier a ronchonner contre les couillons, j'assume. Avoir envie de trucider lesdis couillons, j'assume...mais si maintenant ca touche aussi les copains, ca va mal finir. Foutre sur le pif de cet escogriffe et me faire foutre dehors c'est pour moi. Une lame dans la panse, tres peu. Tachons de calmer l'affaire.

Il glissa ces quelques mots a l'adresse de Karuk:

Hé, de toute façon elle peut pas etre aussi bonne que la votre mon cher ami...essayons une autre approche, pas la peine de se casser les noix sur une connerie...
Il s'adressa a l'aubergiste

Mais vos eaux de vie et cognacs sont déliceux... je serais bien mari d'y trouver a redire. Ca serra alors un godet chacun s'il vous plait!

Arellys était restée à l'extérieur et attendait de pouvoir emmener son âne à l'étable. Elle patientait en retirant tant bien que mal la boue accumulée sous ses bottes.

Lorsqu'elle entendit les éclats de voix à l'intérieur, elle s'approcha de la porte et glissa un oeil inquiet dans l'établissement sombre et puant. Elle espéra qu'il ne se passerait rien de fâcheux mais se tint prête à intervenir.

Quelle journée, vraiment...

Gorak secoua la tête tout en bourant sa pipe, Il haussa les épaules alors que la flamme de son briquet à amadou mettait le feu au tabac.

Peu m'importe ce que tu pense l'ami. Sert nous donc ton alcool, à moi et à mes frères ... maintenant, je ne comprendrais pas que tu refuse de servir ceux de ta race.
Ceci etant, il viendra un jour ou tu devra t'xpliquer devant Sigmar, que tu lui expliquera pourquoi tu as refusé de servir à boire à ceux qui lui ont permis de fonder son Empire, à ceux qui furent ses alliés et qui le sont encore... J'ose simplement croire que tout l'Empire ne te ressemble pas, j'aime à croire en cette amitié qui unissait nos peuples et les unissent encore aujourd'hui.

Mais assez bavassé, sert nous donc ce que tu veux, et prie Sigmar qu'il te pardonne tes actes,

Gorak partit s'assoir à une grande table, attendant que chacun fassent de même.

Johannes venait de mener Patience à l'écurie lorsque la discorde éclata. Il proposa à Wilhem de le remplacer une fois désaltéré pour prendre son tour de garde avant que la nuit ne tombe puis songea un instant venir soutenir ses compagnons. Il y songea jusqu'à ce qu'il parvienne à la conclusion que ses amis, si bourrus et attachants qu’ils étaient, finiraient bien par faire entendre raison à quelque campaneux en mal de querelles.

Ces derniers semblaient d'ailleurs fort sociables, à un tel point qu'il en vint à penser que même un répurgateur pourrai aisément leur réserver un accueil plus... chaleureux... . Blague à part, il ne pu retenir un léger rire en écoutant le beau parler du tonnelier, Khazagin. Ce nain savait donc se montrer « civilisé ». Eh bien ! peut-être l’emmènerai-t-il faire une virée à Nuln un de ces jours ?

Les esprits semblaient donc se calmer peu à peu et il remarqua la crasse et le doux fumet qui caractérisaient l’établissement, si bien qu’il en vint à penser qu’il serait lui-même fort mari d’avoir à y souiller sa lame parfumée tandis qu’il entrait dans la bâtisse en posant délicatement une main rassurante sur l’épaule d’Arellys, apparemment ennuyée par la situation. Il s’attabla alors, prenant finalement le temps de nettoyer ses bottes et s’assura de conserver sa rapière à portée de main.

Arkar rentra derrière les autres. Il vit la "discution" qui y était menée et préféra aller s'installer dans un coin sur une table vide et observer la scène Dans le coin où il tait il pouvait observer chaque mouvement des gens qui y étaient installé ce qui lui permettait de réagir rapidement au cas où.

Arellys commençait à en avoir singulièrement assez de cette journée et soupira.

Elle ne s'attendait pas à ce que Johannes pose une main sur son épaule et sursauta légèrement. Elle le gratifia d'un léger sourire et s'en fut mettre Sebastian à l'écurie.

Elle entra dans l'auberge et s'installa à la table où ses compagnons se trouvaient déjà.

Suite...

La tension dans l'établissement était palpable. Les clients voyant certaines personnes se mêler de la conversation, se tendirent, de la sueur perlant sur leur front... Karuk semblait vouloir démolire l'aubergiste, il était très frustré et l'humiliation faite par l'homme rondouillard était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. La fatigue et l'origine de la mission devait y être pour beaucoup.

Mais les quelques mots glissés à l'oreille de Karuk par Khazagin, le détendirent.

La soirée aurait pu tourner court mais la réaction de certains a permis aux aventuriers de pouvoir profiter d'un toit. Malgré l'odeur et l'ambiance lourde, la confrérie écarlate profite de cette pauvre taverne pour se reposer.

Kolgoth avait impressionné le tavernier avec sa stature imposante, le rendant moins hostile. Gorak Barr avait permis à Karuk de prendre conscience de ne pas s'emporter, mais ce dernier ne voulu boire aucun des breuvages du tavernier...

Les aventuriers étaient pour la plus part, réjoui de dormir au chaud, mais pressés de sortir de ce village peu acceuillant.

Suite de l'aventure

HRP: je continue le voyage, vous pouvez faire un petit RP de votre nuit dans la taverne si vous le désirez.

La nuit, malgré la tension, c'est plutôt bien passée. Les tours de garde se sont bien déroulés et au petit matin les aventuriers peuvent repartir avec leur fardeau. Le corps inerte du Nain était toujours en bon état.

Quel bonheur de quitter un lieu si peu acceuillant, une pluie fine commencait à tomber, n'arrangeant en rien le voyage.

Les différents événements:

- Elythian a aperçu ce qu’il croit être des Gobelins à plusieurs reprises dans les forêts alentours. Bartold semble être vraiment stressé après avoir entendu cela.

- Vous croisez un groupe de chasseurs composé de trois humains et un elfe. en discutant avec ces derniers, vous apprennez que les chasseurs on aperçu une bande de brigands s’attaquant à une famille de marchands. Les chasseurs étaient apparemment en sous nombre et sont arrivés trop tard, se serait pour cette raison qu’ils n’auraient pas aidé la famille. « Quelle idée de voyager sans garde aussi » dit l’un d’eux. Pour Karuk, c’est un manque de courage total et ne veut pas en entendre plus…

- Vous passez près d’un village appelé Bergamm.

...

HRP: continuation de l'aventure au plus tard mardi prochain. N'hésitez pas à poster vos RP sur tous les sujets.

Arellys ne mis pas longtemps avant de s'endormir et se réveilla en pleine forme. Le lit n'était pas des plus confortables, mais elle avait connu bien pire durant ses voyages.

Elle descendit tôt pour prendre son petit déjeuner et s'en fut s'occuper de son âne, qu'elle brossa énergiquement avant de poser le bât sur son dos et d'y accrocher les sacoches. Elle releva la capuche de sa cape sur sa tête pour se protéger de la bruine et rejoignit ses compagnons pour le départ. Elle attacha à nouveau Sebastian à la charrette et marcha à côté de lui. Son coeur devint plus léger quand ils quittèrent le village.