Légendes de L' Empire

On raconte que dans l' empire erre un vieillard nommé Josachias. Il apparait sous les traits d' un vieillard à l' air sage et extrèmement las du voyage. En effet, les seuls endroits où l' on peux croiser Josachias sont les routes et les chemins, que ce soit à la campagne, en ville ou même en montagne.
Josachias est vêtu d' une simple robe de tissu epais mais étrangement colorée. En effet, de telles couleurs ne sied guère à un vieillard et pourtant, Josachias porte une robe bleue et verte ainsi qu' une petite cape rouge.
On ne peux le rencontrer que la nuit. Il tient toujours une lanterne dans la main droite et un baton dans la main gauche.
Certains disent que la lanterne brillait sans flammes ou encore que son baton était de couleur rouge sang, mais rien n' est moins sur.

Ce n' est bien evidemment pas ses vêtements et ses accessoires qui font de Josachias l' Ermite une lègende à part entière. Ce qui l' a rendus célèbre est son don de voyance. Contrairement aux autres devins, augures et astrologues de l' empire, Josachias predit rarement de sombres presages, il se contente de dévoiler un avenir lorsque l' on ne lui demande rien et de répondre par enigme lorsqu' on lui demande de dévoiler l' avenir. Au bout d' un moment, Josachias oriente la "conversation" vers la question du passé, du présent et de l' avenir, puis, se met à répéter ses trois mots tout en quittant les personnes l' ayant interrogé. Et, au bout de 60 mètres, il se met à disparaitre dans un minuscule et silencieux éclair. C' est en particulier ses disparitions qui font de Josachias un être légendaire. Certaines personnes ont tentés de suivre Josachias ou même encore de le capturer. Mais il disparu toujours de la même façon.

Les prédictions de Josachias se sont toujours réalisés, si toutefois son interlocuteur à pu les vérifier, car elles ne le concernent jamais. Et parfois, il s' agit de l' avenir d' un homme vivant à l' autre bout du vieux monde.
Toutefois, les prédictions de Josachias ne concernent que les humains.

La légende de Josachias est une légende connue des adeptes de Morr, des devins, des astrologues, de quelques vieillards et d' une poignée de voyageurs mis à part ces quelques personnes, on ne connait pas Josachias.


((HRP : Alors voilà le début d' une série de plusieurs petites légendes. Selon la légende, elle concernera tel ou tel typer de perso. et les MJs que vous êtes peut-être peuvent bien sur s' en servir à loisir dans leurs scenario. Elles sont principalement là pour rajouter de l' ambiance, mais qui sait...
J' espère être bien résté dans l' atmosphère de Warhammer et j' attends vos commentaires avec impatience !))

C'est sympa, ca pourrait faire une tres bonne légende de taverne!

Un petit coté cassandre version Juif errant^^
J'aime beaucoup!

En voilà une belle initiative! J'attend les autres avec impatience .

((HRP : Merci à vous ! Et bien je vais donc continuer, vos avis sont toujours les bienvenus, qu' ils soient favorables ou defavorables ))





Prenez garde voyageurs des routes hors de la foret. Prenez garde de ne pas chanter, ni clamer, ni même murmurer le nom du démon Amduscias, lorsque le ciel se couvre. Car quand les cieux deviennent gris, Amduscias ressucite de la poussière des routes et des chemins.

Il y' a plus de deux mille ans, sous le reigne de l' humain Sigmar, l' empire ne possédait pas toutes ses routes. Il n' y avait pour se rendre d' un village à l' autre, que les sillons des charrues.
Sigmar ordonna alors que l' on trace des routes et que l' on ceinture la terre qu' il s' était approprié.
Alors commencèrent de grands travaux de constructions, touts les peuples alliés de Sigmar entreprirent de construire de grandes routes. Transperçant les forets, domptant les collines et cerclant les plaines.
Et bientot, les hommes et les bêtes quittèrent les forets, les collines et les plaines pour marcher sur les routes.
Mais la terre ne l' entendait pas de cette façon. Et si les arbres et les plantes purent sans difficultées effacer les routes forestières, les collines et les plaines ne pouvait se débarasser de leurs cicatrices. De plus, les hommes ne s' avouaient jamais vaincus et tranchaient les arbres, et piétinaient les plantes qui poussaient sur leurs routes. Alors la terre se facha et decida d' envoyer une créature pour tuer les ouvriers et les cantonniers. C' est ainsi que naquit Amduscias. Tout en lui, ses traits, son apparence et sa demarche étaient humains, ormis une longue corne noire de licorne sur son front.
Et lorsque la terre envoyait son fils Amduscias, pour chatier les hommes, le ciel se couvrait pour cacher le crime de la terre aux astres.
Amduscias finit par être redouté des hommes et Sigmar lui-même eu vent de l' histoire. Il décida d' envoyer un guerrier quelconque pour régler ce problème qu' il qualifiait de quelconque. C' est ainsi que le jeune guerrier Dagreïr partit sur les routes abandonnées de l' empire naissant pour y trouver le démon Amduscias.
Le pauvre humain n' avait aucune chance contre un démon de la terre, mais il l' ignorait et courait aveuglément vers une mort rapide et sans gloire.

Cependant, on raconte qu' un jour, le ciel trahit la terre et ne se couvra point, permettant ainsi aux astres de découvrir le crime de la terre : Amduscias.

Le même soir, alors que Dagreïr dormait après une longue course inutile, les astres lui envoyèrent une vision, en rêve, lui indiquant le seul moyen de vaincre Amduscias : le feu.
En effet, ni l' épée, ni la hache, ni les flèches ne pouvait blesser Amduscias, alors qu' une simple torche lui était mortelle.

Quand il se reveilla, Dargeïr, ne voulut pas croire les astres, persuadé d' avoir fait un simple rêve étrange. Et il repartit, chantant, sa hache sur l' épaule.
Au bout de quelques heures, le ciel se couvrit et devint noir. Dagreïr prit sa hache à la main, mais resta confiant. Et, dans un grondement de tonerre, il aperçut, une forme humaine loin devant lui, sur la route. Il appella et essaya de distinguer de qui il s' agissait. La forme se retourna, et la longue silhouette noire de sa corne se dessina, semblant dechirer le paysage de la lande.
Dagreïr comprit qu' il s' agissait d' Amduscias et sans autre forme de procès, prit sa hache à deux mains et chargea le démon en hurlant. Amduscias resta immobile. De toute sa force colossale, le jeune guerrier impétueux abattit sa lourde hache sur le visage du démon. Mais Amduscias ne bougea pas et resta figé, tel un monolithe. Le choc fut si terrible que la lame et le manche de la hache de Dagreïr volèrent en eclats et que le guerrier s' ecrasa dans la poussière de la route. Il se releva écumant de rage, le tonnerre grondait de plus belle et Amduscias s' était retourné, et regardait à présent Dagreïr avec haine. Mais le guerrier n' avait de rien ni personne et chargea le démon à main nue. Quelques pouces avant que ce dernier n' arrive au visage d' Amduscias, le démon leva le bras vers le ciel et au même moment, un colonne de terre sortit de la route et renversa violemment Dagreïr. Le guerrier se releva une nouvelle fois et hurla en chargant de plus belle. Amduscias se contenta de taper du pied et la terre trembla comme si elle était piétinnée par un dragon. Mais Dagreïr, pourtant gravement bléssé, se relevait toujours et Amduscias faisait pousser de nouvelles colonnes de terres qui l' envoyait à terre avec toujours plus de violence. Le paysage de la lande finit par se transformer en une foret de colonne. Dagreïr les brisaient toutes de ses poings pour parvenir jusqu' à Amduscias, mais en vaint.
Le tonerre grondait et la pluie commença à tomber, les colonnes de terre se changèrent en boue et très vite, Dagreïr en eut jusqu' au torse. Il dut faire un effort surhumain pour s' extraire du bourbier sous le rire d' Amduscias. Dagreïr ramassa le plus grand morceau du manche de sa hache brisée et grimpa sur une colline. Là, couvrant le tonerre, il provoqua une dernière fois son ennemis. Lentement, Amduscias s' approcha de lui. Dagreïr lui assena une serie de coups sir rapides et si violents qu' il s' épuisa lui-même et s' écroula de fatigue, tandis qu' Amduscias n' avait toujours pas bougé.
Le corps de Dagreïr degringola du sommet de la colline. Amduscias le suivit pour l' achever. Le guerrier savait qu' il avait perdu et enrageait de son échec. Et c' est à ce moment où Amduscias allait triompher que les astres par l' intermédiaire du ciel envoyèrent un éclair entre les deux combattants. Amduscias fut aveuglé par la puissance de la foudre et recula effrayé. Dagreïr crut son dernier souffle arrivé au moment de l' impact, ais il se releva et constata qu' il était vivant. Devant lui se trouvait le manche de sa hache, enflammé, et le démon reculait maladroitement. En voyant le feu sur son baton, Dagreïr comprit que son songe était vrai et que la dernière chance de vaincre Amduscias était là. Alors, rassemblant ses forces, le jeune guerrier se releva, ramassa son baton flamboyant et s' approcha en titubant d' Amduscias. Le démon entendait le grognement de l' humain, mais ne voyait pas d' où celui-ci venait. Il fit trembler la terre à l' opposé de l' endroit où se trouvait réellement Dagreïr et sentit une douleur gigantesque dans son dos. Dagreïr avait frappé. Amduscias fit volte-face, mais ce fut pour sentir la mortelle caresse du feu sur son visage. Dagreïr frappait sans pitié pour le démon qui hurlait en s' enflammant. Amduscias venait de découvrir la douleur que la terre lui avait caché. Il tomba à genoux, il se sentit transpercé par la douleur.

...

Dagreïr lacha promptement son arme et regarda avec une joie immense, le démon, transpercé par la torche, s' embraser en hurlant. Il le regarda se consummer longuement. Et une fois en poussière, Drageïr tomba de fatigue.

Les astres, le ciel et la terre observait avec silence leur oeuvre. Un marais boueux deux créatures au sol, du feu et surtout, une haine immense. Ils eurent honte et peur.

Taal leur parla. Il leur dit que jamais plus il ne laissairait la terre et le ciel faire de pareilles atrocitées. Alors la terre rejeta Amduscias et lui interdit à jamais le droit de fouler son sol, elle chassa également tout ses autres fils, qui disparurent on-ne-sait-où.

Mais ni Dagreïr, ni Amduscias n' étaient morts.

Dagreïr fut sauvé par une pretresse de Taal qui le traina jusqu' à son village où il fut soigné et tellement honoré et vénéré, qu' il devint chef de ce village, epousa la pretresse de Taal et ne retourna jamais voir Sigmar pour sa récompense. Il n' en avait pas besoin, son bonheur était total.

Quand à Amduscias... il n' était plus que poussières sur la route. Brisé par la douleur, déchiré par la tristesse, il appella desespéremment la terre à son aide. Elle ne lui repondit jamais. Il resta des siècles, ivre de rage envers sa créatrice qui ne le jugeait même plus digne de réponse, fou de haine à l' egard des hommes et des astres, et humilié par tout ces peuples, qui chaque jours, lui marchaient dessus.

Il nourrit cette douleur, cette haine, cette tristesse et cette humiliation pendant des siècles... Tant et si bien qu' un jour où le ciel était noir et où le tonerre grondait, il put revivre grâce à un homme.
Un vieillard qui était le seul à se rappeller de la légende et qui, après avoir traversé tout l' empire à la recherche de la route d' Amduscias, l' avait enfin trouvé, et l' avait appellé par son nom, ce qui le fit renaitre de ses poussières. Nul ne sait qui était ce vieillard, mais le principal est qu' il ressuscita Amduscias.

Aujourd' hui, Amduscias erre toujours sur les routes des landes... que ce se soit au Wissenland, au Stirland, voir même au Pays perdu, toutes les routes et les chemins hors de la foret peuvent être traversé par la silhouette cornue et noire d' Amduscias.
Il ne peut quitter ces routes, car il ne peut fouler le sol de la terre qui l' a renié. Si jamais il essayait, il serait foudroyé sur place.
Il ne peux pas non plus pénétrer, ni dans une foret, ni dans un bosquet, ni dans une ville.
Il n' apparait que lorsque le ciel est couvert.
Il ne craint aucune arme hormis le feu.
On peux l' invoquer facilement. Il suffit d' être sur une route qui ne soit ni dans une foret, ni dans un bosquet, ni dans une ville. Les arbes en bordure de la route n' empêchent rien, les champs non plus. Ensuite, si le ciel est couvert, que ce soit de nuit où de jour, il suffit de prononcer le nom "Amduscias" pour voir le vent se lever et soulever de lourd volutes de poussières qui s' assemblent en un nuage s' approchant dangeureusement de celui ayant prononcé son nom. Puis, le nuage devient Amduscias, le démon à l' apparence totalement humaine hormis la corne noire de licorne sur son front. Amduscias apparaitra l' air réjoui, car il espere toujours retrouver le vieillard lui ayant rendu la vie physique. Mais sa joie disparaitra bien vite pour laisser place à une décéption très dangereuse pour l' invocateur, qui n' a aucune chance d' apaiser la colère d' un des grands fils de la terre, surtout si il s' avère être un humain.
Lorsque Amduscias approche, le silence se fait. Les oiseaux se taisent, les arbres semblent se paralyser pour ne pas faire bruisser leurs feuilles, les cailloux de la route ne crissent plus sous les pas du voyageur. le cheveux retiennent presque leur respiration. Le silence devient de plus en plus total et opressant. Puis, quiconque tentant de rompre ce silence s' apercevra que plus rien n' emet le moindre son, ni les roues grincantes de la charette, ni le ménéstrel et son instrument...pas même une lame de hache qui se brise.
Et c' est dans cette atmosphère muette que le vent commence à se lever, un vent doux et frais, mais toujours muet. Et les voyageurs pourront alors apercevoir la silhouette noire à la longue corne d' Amduscias marcher lentement sur la route. Il est encore tant de fuir, mais les voyageurs le savent rarement et préfèrent aller à la rencontre de cet être vivant tant éspéré pendant un silence de mort. Amduscias comprends ce qu' on lui dit. Mais lorsqu' il parle, aucun son ne sort de sa bouche tandis qu' il bouge ses lèvres, par contre, à chaque parole muette du démon, un vent efforyable ébranle les voyageurs, emporte l' équipement, fait plier les arbres, arrache les buissons et fait onduler les plaines !
Amduscias ne parle que par le silence, en souvenirs de la terre qui ne lui à jamais répondu.
Alors les voyageurs, prient Sigmar ou Taal, tirent une flèche, un balle ou chargent à la hache ou à l' épée, et tous meurent, alors qu' il suffisait d' une torche pour faire disparaitre Amduscias en poussières.

Pour échapper à Amduscias, il faut soit le tuer par le feu, soit le fuir. Mais il existe un autre moyen beaucoup plus simple que pourtant, aucuns voyageur n' applique.
Il suffit juste de se taire et de s' écarter de la route, car Amduscias ne peut ni voir, ni quitter la route. Il ne faut pas cependant, le provoquer. Car si il entends le son d' une voix humaine, l' idiot à beau se trouver à plusieurs pas de la route, il n' en est pas moins engloutis dans un bourbier sortit de nulle part.
C' est ainsi que quelques voyageurs s' étant reposés sur le bord du chemin, ne se sont même pas rendus compte que le démon Amduscias les avaient croisés sans les voir.

Aussi, une dernière fois, prenez garde. Car les corps sans vies des imprudents sont souvent retrouvés dans les fossés.

La Légende d' Ulfred le Pouilleux.

Wurtbad est une bien belle ville. Capitale du Stirland, réputée pour ses eaux et son grand marché de vins.
Les riches s' y rendent avec joie pour gouter à ces plaisirs tandis que les pauvres s' entassent dans les bas-fonds de la ville.
Ces bas-fonds sont irrigués par les eaux sales et noires rejetées des bains des riches quartiers de la ville.
Ici-bas, la puanteur, les ordures, la saleté, les rats cotoient les pauvres habitants. C' est dans se triste decor qu' un être immonde fit, un jour, son apparition.
Le gens de Wurtbad le nomme :

Ulfred le pouilleux.

Vivant dans les bas-fonds de Wurtbad, Ulfred est plus un monstre qu' un être humain. Depuis toujours, les mères des bas-quartiers de Wurbad répètent à leurs enfants turbulents :

"Obéissez ! Sinon, Ulfred le pouilleux sortira des ordures, vous attrapera, vous entrainera dans son antre sale et noire et vous mangera !!!"

Malheureusement, si plusieurs enfants ont déjà disparus, qu' ils soient turbulents ou non, Ulfred semble également étre attiré par les égarés, les voleurs, les jeunes filles et les vieillards. Bref, tout ce qui passe à sa portée.

Ulfred n' attaque que dans l' obscurité. Que ce soit la nuit, ou sous un orage particulièrement violent. Ses malheureuses victimes ne le voient rarement arriver et bien souvent, sont tués ou assomées dans le dos. Quelques survivants disent l' avoir vu emerger des ordures, degoulinant de crasse et de pourriture visqueuse, avant de se jeter sur eux, un sourire sadique brillant dans les ténèbres de son visage, caché par un très large chapeau.
Ulfred le pouilleux est un personnage horrible dans tout les sens du terme. Bien souvent, les témoins qui affirment l' avoir aperçut dévorer un innocent dans la rue, le considère plus comme un monstre, une sort de gros insecte écoeurant, que pour un humain.
Ulfred n' est pas bien grand, mais semble extrèmement gros.
"C' est à cause de touts les enfant pas sages qu' il à mangé !!!"-disent les mères des bas-fonds à leurs enfants.
"Il porte sur lui de lourd vêtements épais, et tant d' ordures et de choses ignobles et luisantes qu' on le dirait protégé par une carapace d' insecte !" -disent ceux lui ayant survécu.
Certains auraient même cru distinguer une multitude d' animaux abominables pullulants sur lui.
Inutile de parler de l' odeur qu' il dégage.
Sa voix par contre, est tout ce qu' il y' a de plus inhabituelle pour un personnage de cette corpulence. C' est une voix aigue, nasillarde et criante d' enfant capricieux et pleurnichard. Il n' en sert de toutes façons que pour grogner et crier à ses victimes :
"Vous manger ! ! ! Je veux vos tripes ! Je les arraches ! Je veux vous mange..."
Et quelques sanglots...

Ulfred se bat avec deux dagues brisées, rouillées et ébréchées. Il lui est facile de toucher son adversaire tellement il est agile malgré tout ce qu' il porte sur son dos. Cependant ses coups ne sont en aucuns cas mortels à court terme. Ils sont mêmes totalements inofensifs. Mais si il y'a lésion, la victime est inféctée par la gangrène et doit imperativement trouver un médecin.
Pour les gens des bas-fonds, la recherche et les honoraires d' un médecin sont deux obstacles infranchissables.

Les survivants des attaques d' Ulfred le Pouilleux doivent leur victoire à une simple blessure portée à leur adversaire. La blessure peux aller d' un coup qui aurait du l' egorger à une egratignure. Dans les deux cas, Ulfred arrête brusquement le combat et disparait dans les ruelles bouchées d' ordures.
Tout ceux ayant voulus le poursuivre ont disparus.

La quantité effrayantes des ordures à Wurtbad est un vrai paradis pour les chiffoniers, qui curieusement, ne craignent absolument pas Ulfred le Pouilleux. Au contraire, il n' est pas rare de voir des chiffoniers masqués par des sacs de toiles, aider Ulfred à combattre ou à s' enfuir.
Cette situation est très inquiètante, mais le comte Electeur Alberich Haupt-Anderssen, a bien d' autres problèmes avec le problème de la Sylvanie, pour s' occuper d' une légende.

Quelques chasses ont été organisés par les autoritées de la ville, mais toutes ont été des échecs et la dernière s' est soldée par le massacre pur et simple des miliciens. Depuis, les autoritées ferment les yeux sur les disparitions dans les bas-fonds.

Bien sur, beaucoups d' organisations criminelles ont profitées des forfaits d' Ulfred pour camoufler leurs enlèvements et tout les pistes sont brouillées.

Personne ne sait d' où vient Ulfred le pouilleux. Certains disent que c' est un ancien paysan du nord du Stirland, qui aurait été gravement touché par le chaos de Nurgle, lors d' une très ancienne invasion et qui se serait caché à Wurtbad. D' autres encore prétendent tout bonnement que Ulfred le Pouilleux est né des ordures de la ville. Certaines rumeurs racontent même qu' Ulfred serait le fils de riches bourgeois en vacances à Wurtbad. Né difforme et argessif, ses parents l' aurait jeté dans les ordures dans l' espoir qu' il y meure.

Toujours est-il qu' Ulfred Le Pouilleux est bien connus des habitants de Wurtbad et que les alentours de la ville le connaissent plus ou moins lors des véillées.[/i]



(( HRP : Et de 3. Pour celui-là, par contre, je n' ai pas eu beaucoup de temps et j' ai peut-être baclé la fin. Dites-moi ce que vous en pensez ))

J'en dis que celui la va bientot faire son apparition a ma table^^ C'est un PNJ du tonnerre de Dieu.

J'ai dans la besace un personnage que j'ai envie de jouer, un initié de shallya, et je me demandais de quel coin j'allais le faire venir. Et bien avec l'aide de cette histoire je pense pouvoir bricoler un truc sympatoche.

pour la critique:
-j'aime bien la maniere dont tu introduis la chose.
-j'aime bien le concept en général

-je ne pense pas que les gens connaissent Nurgle comme ca, donc c'est peut etre un point a faire disparaitre au profit d'un plus grand mystere et de rumeurs abracadabrantes.
-si il était vu comme un chaoteux, pourquoi les chiffoniers auraient il pitié de lui? Ne serait il pas plutot un vrai prédateur pour eux? (mais apres tout qui se préoccupe de manants boueux qui disparaissent? )

-peut etre mettre quelques rumeurs de plus; quelques histoires de bonnes femmes (j'aime bien l'idée un peu pere fouettard ou ogre; enfin, le personnage qui fait peur aux enfants).

En tout cas c'est tres sympa^^

(( HRP :Merci pour la critique
C' est vrai que le terme même de Nurgle est assez majoritairement inconnu par les paysans. Pour eux, Khorne, Tzeentch, etc... c' est du pareil au même.
Mais je pensais plutot que ce genre de rumeur avait été lancé par justement quelqu' un qui s' y connaissait en la matière. Un repurgateur, ou quelque chose comme ça. Et bien sur, je devrais préciser que cette rumeur ne peux pas être entendue par n' importe quels PJs ni dite par n' importe quels PNJs. Cela resterai je pense dans le catégorie de ceux qui connaissent le chaos.

Sinon, j' ai fait le dessin de ce PNJs je vais essayé de le scanner et de l' envoyer
Bon pis je m' attèle à la prochaine légende quand j' aurais plus de temps ))

La Saga de Korhas le bucheron.
(1ère partie.)



Les nains vivants dans l' Empire et les gens du Hochland, en particulier les bucherons, connaissent bien Kohras le bucheron. Cette légende est connue principalement dans les forets non loin des Monts du Milieu.

Les Hochlanders et les nains racontent souvent cette saga qui commence comme beaucoups de sagas naines mais qui ensuite, prends une tout autre tournure, et se mèle avec la mythologie pré-impériale et les légendes locales.

On raconte qu' il y a plusieurs siècles, dans la forteresse naine de Karak-Grimm, se trouvait une grande bibliothèque, dont les nains étaient fiers. Cette bibliothèque était entretenue et surveillée par un noble et vieux nain accompagné de son jeune et non moins valeureux fils : Korhas.
Tandis que son père vénérait les livres, les sciences, l' histoire naine, Korhas, lui, préférait la bagarre et les entrainement à la caserne.
Bien sur, un jour, Korhas demanda à integrer une troupe de Marteliers chargée de partir en expedition contre un campement orque isolé dans la montagne, un peu trop près de Karak-Grimm. Mais son père refusa catégoriquement. Non par doute de la valeur de son fils au combat, comme celui-ci le crut, mais parce que le vieux bibliothécaire avait besoin de quelqu' un de confiance absolue pour surveiller la bibliothèque. Il y' eu donc une grande dispute inutile, car le père à toujours raison de droit. Le vieux bibliothécaire partit à l' aurore et remit son trousseau de clés à Korhas, ivre de colère et de vengeance.
Parmis les nombreuses clés de la bibliothèque, il y en avait une beaucoup plus grosse et plus lourde que les autres. C' était celle qui ouvrait la lourde porte de pierre protégeant le Livre Runique de la forteresse, un ouvrage sans âge que seuls les Maitres de Runes pouvait voir...
Mis à part Korhas et son père.
Ce livre était le bien le plus précieux de Karak-Grimm et son père le surveillait avec une loyautée sans faille.
Toujours sous le joug de la colère, Korhas décida de commettre une folie afin de se venger de son père, qui lui avait refusé l' honneur de la guerre.
C' était décidé, Korhas allait quitter Karak-Grimm et parcourir le monde grâce à l' argent qu' il tirerait en vendant le livre. Korhas savait que le livre valait une montagne d' or, mais comment trouver un acheteur ?
Il erra d' un pas rageur, enfermé dans la bibliothèque de son père, attendant un acheteur imaginaire, pendant 7 mois.
Puis, un jour, un humain pauvrement vêtu, mais digne, se présenta à lui. De part sa calvitie, sa petite barbe blanche et ses lorgnons, Korhas en conclue qu' il devait être vieux et qu' il allait passer un désagréable moment à tenter de comprendre un Reikspiel bredouillant.
Cependant, le viel humain, qui était en réalité un grand erudit spécialiste de la culture naine, avait été envoyé sous bonne escorte, acquerir un maximum d' ouvrages nains afin de garnir les bibliothèques de plus prestigieux palais impériaux.
Korhas, mort d' ennui, lui soumit l' interminable liste de livres qu' il possédait. Mais ce maudit savant ne semblait enthousiasmé de rien. Il disait déjà tout posséder, se moquait de la conception du livre en lui-même et même des enluminures ! Il ne cherchait que du savoir, encore plus de savoir. C' est alors qu' exaspéré, Korhas eu une idée. Il ammena l' erudit devant la lourde porte de pierre de la salle du Livre Runique. L' humain devint presque hystérique et supplia le nain de lui vendre le livre. Korhas lui demanda une immense somme d' or et l' humain accepta immédiatement, une lueur de joie immense dans les yeux.
Abasourdi, Korhas vit l' escorte de l' erudit lui ammener 7 coffres, plus grand que le nain lui-même, tous remplis de pièces d' or. Korhas n' avait jamais imaginé autant d' or, en effet, il ne connaissait que la poussière des étagères et les armes de son peuple. Il laissa donc l' erudit et son escorte passer les portes de Karak-Grimm dissimulant le précieux Livre Runique.
Quelques jours passèrent durant lesquels Korhas se hâta de preparer ses affaires pour quitter la forteresse. Mais à l' aube du 7ème jour, alors qu' il allait sortir de la forteresse, Korhas vit son père, de retour de son voyage. Celui-ci était accompagné d' un Maitre des Runes et de plusieurs apprentis qui transportaient tout un atirrail étincelant aux lueurs du soleil levant. Le père de Korhas s' avança et dit d' un air sec et sévère à l' attention de son fils :
"Que fait-tu là, fils ! Je t' avais ordonné de ne point quitter la bibliothèque ! Que veut-tu sinon faire honte à notre famille en présence d' un si grand Maitre des Runes ?"
Korhas palit en regardant l' imposant Maitre des Runes, lui adressant un regard d' une sévérité insoutenable.
Son père se facha en constatant que son fils avait prévu de quitter son foyer pour lui désobéir. Mais ce qui l' attendait en ouvrant la loudre porte de pierre manqua de le tuer. La grande salle du Livre Runique était vide. A la place se trouvaient 7 coffres vides.
Le Maitre des Runes, en comprenant le forfait de Korhas, fit tellement eclater sa colère, qu' il fit trembler les voutes de la forteresse, renverser les étagères de la bibliothèque, et accourrir le Roi en personne, armé de son immense hache à deux mains. Le Maitre des Runes lui expliqua la situation et un grand conseil de crise fut organisé dans la plus grande effervescence.
Korhas souhaitait disparaitre à chaque instant. Par la mort si il le fallait. Pour la première fois, il comprenait parfaitement comment l' on pouvait devenir Tueur de Trolls, et à vrai dire, il doutait même que cette glorieuse carrière ne puisse lui permettre de racheter son impardonnable faute, et laver la honte incommensurable faite à son père.
Tout les membres du conseil demandèrent la mort de Korhas, en particulier le Maitre des Runes. Cependant, deux nains sy' opposèrent...
Le premier, fut son père, et la culpabilité de Korhas en fut renforcée. Mais si se soutient faisais peu de poids fâce aux autres conseillers, celui de l' autre nain, coupa court à toutes discutions. Le Roi de la Montagne lui-même refusa l' éxécution de Korhas, qui n' en croyait pas ses oreilles. Dans son infinie sagesse, le Roi dit que la mort du coupable, était, non seulement insufisante pour racheter sa faute, mais en plus ne ramènerait pas le Livre Runique. Le Roi était un guerrier renommé et était tout de même connu pour son indifférence fâce aux livre et à la magie runique, ce qui expliqua son jugement et la sympathie et la pitié qu' il éprouvait envers Korhas. Le Roi ordonna à Korhas de retrouver le Livre Runique et de le ramener par tout les moyens honorables et dignes possibles. Il serait donc bannit et n' aurait le droit de fouler aucun sol nain avant d' avoir ramené le Livre des Runes, sans quoi il serait abbattu à l' Arbalête comme un lâche, et son resterait à jamais gravé dans la pierre de la honte et du déshonneur...
Le Maitre des Runes se scandalisa d' un tel jugement, et brava l' autorité du roi dans sa propre demeure.
Pour lui rappeller la hierarchie, le Roi alla jusqu' à confier son immense hache à Korhas. devant tant de provoquation, le Maitre des Runes resta muet. C' est ainsi que Korhas le nain fut banni de la forteresse de Karak-Grimm avec pour quête sacrée et vitale de rapporter le Livre des Runes et la hache gigantesque de son souverain.
Tout était en jeu. L' honneur de tous, reposait entre ces mains, tel la hache du Roi. Il empoigna donc avec assurance son honneur, celui de son père, de sa famille, de Karak-Grimm, du Roi lui-même et enfin, de son peuple.
C' est ainsi que Korhas le bucheron quitta les motagnes du Bord du Monde et partit à la découverte de l' Empire.


Fin de la première partie.



(( HRP : Ben voilà, je me lance dans une petite saga. Je sais, les sagas sont les légendes des nains, mais les nains sont fortement présents dans l' empire, et il n' est pas impossible, à mon sens, qu' une de leur saga soit liée aux légendes locales.

Dites-moi si j' ai bien fait, et si je dois mettre la suite. ))

Il faudrait ici que tu insistes dans la forme du récit sur l'aspect "conte".
Le coup des 7 jours; 7ans ets c'est bien. Mais tu pourrais mettre 7jours ET 7nuits, faire des doublons qui frappent la mémoire, comme dans les contes de fées qu'on nous raconte quand on est petit (ou qu'on lit tout seul quand on est moins petit^^)

Pour le livre runique: c'est une bonne idée le coté précieux etc. Faudrait que tu précises peut etre qu'il détient un grand pouvoir dangereux etc.
Pour le nain: comment il a pu vendre le livre ?
Faudrait mettre une petite dose de morale ici: le nain était d'un statut social important mais il était vaniteux et se laissait corrompre par l'argent, et il a vendu le livre (un peu l'ame du peuple nain en quelques sorte) contre une forte somme. Apres il perds tout, se fait bannir et doit racheter sa faute.

J'aime bien le décallage entre le fait d'acheter un livre hyper cher et retrouver sa trace dans un cabane en ruine, c'est aussi tres révélateur. C'est une histoire tres sigmarite en fait^^

On pourrait aussi dire que la hache du nain est la seule chose qu'on lui a autorisé a posséder, comme souvenir de ce qui împorte VRAIMENT, l'objet de la défense des valeurs traditionnelle etc.

J'aime bien cette idée des contes^^

(( HRP : Merci beaucoup pour tout ces bons conseils ! ! ! Avant de poster la seconde partie qui est l' histoire du vieil Hansel, je vais réécrire ses modifications et surement faire un paragraphe au debut pour mieux détailler l' histoire de Korhas.
Je vais aussi accentuer l' aspect "conte" ^^ ))