Une ombre dans la nuit

Sombre est la nuit ce soir la. La Lune en partie masquée par les nuages n'éclaire que bien peu la route qui mène à l'entré de "Camp nouveau". Une pluie fine mais continue achève de détramper les bord du chemin et de les rendre boueux. Une inquiétante silhouette s'avance lentement.

Au fur et à mesure qu'elle se rapproche des braseros qui marquent l'entrée de la ville on peu s'apercevoir que cette silhouette appartient a un homme portant une simple Bur. L'eau ruisselle le long de cet habit dont le porteur vient de s'arreter.

Un silence maccabre s'empart alors des alentours, la pluie cesse de tomber, le vent cesse. La silhouette se tourne vers le garde assoupis là sous un arbre.

Une voix profonde et caverneuse se fait alors entendre

BONSOIR !!

Le garde sous l'arbre ne semble pas bouger outre mesure. En t'approchant tu constates qu'un équipement de soldat de la garde a été laissé la...et cet amas dans l'obscurité faisait pensé a un homme assis.. Cependant tu entends un bruit, comme un plaque de bois frotant contre une autre. Une voix se fait entendre:

Qui va la?



[HRP: petit rattrapage, les gardes n'attendent pas sous les arbres...surtout par temps de pluie...il sont dans les tourelles ou les baraquements de l'entrée...]

Surpris Beryk se recroqueville un instant puis se retourne vers l'endroit d'où provient la voie.

Ha!! Ze..zeee je suis Beryk, ze ze ze suis prèèètre

Le ton de sa voix laisse à croire qu'il est ou fou ou très surpris, en tout cas le bonsoir ne pouvait visiblement pas provenir de cette personne.

Il s'approche de la porte et enlève sa capûche, laissant ainsin aparaitre un visage affaibli et creusé. Des cheveux humides et grisonants tombent par mèche devant ses yeux d'un bleu gris tout exorbité.

Ze, zeee voudrai m'areter dans cette ville s'il vous plaiit.

L'homme s'emble s'être calmé mais son discour ne transpire toujours pas la clairvoyance. Il joint ses mains et tente d'esquisser ce qui semble être un sourire au garde.

Par tout les dieux de l'empire et d'ailleurs mais qu'est ce que c'est que ce type?!

Le garde ouvre le batant de la porte en grommelant des imprécations contres tour a tour les étrangers, les voyageurs, les voleurs, les dévots stupides et les gens qui le réveillent en pleine nuit. C'est alors qu'il aperçoit l'équipement qui traine.

Par Sigmar!
Un éclair de peur passe sur son visage...Puis il se tourne vers toi.

Z'etes qui?

Ze suis Beryk, le prètre d'Ulrik, je vien ici apporter sa parole et sa sagesse...

Il semble avoir complètement retrouvé son calme et hormis son zézément il a tout l'air de quelqu'un de normal.
Il continue a te parler mais c'est alors que la même voix sombre et ténébreuse que toute à l'heure se met à raisoner dans ta tête.



Je suis l'alpha et l'oméga, venu du nord t'apporter la voix de la colère et de la destruction.




...Et donc ze dizais que si tu le veu bien nous pourions continuer cette passsionante conversazion dans un endroit plus chaud

Le prètre en voyant ton visage te fait un grand sourire amical et te donne une petite tape sur l'épaule.

Hey l'ami , za va aller ?

Helmer Diebfreund fut tétanisé par la voix explosant dans sa tête. Il n'était déja pas d'un naturel conquérant alors en entendant cette voix glaciale et si familiere , sure d'elle et de son pouvoir il fut pris d'une panique incroyable. Incapable de répondre de maniere intelligible il bredouilla et couina de telle maniere que tu compris a peu pres que tu peouvais passer.

Le mince jeune garde brun a barbiche et a l'odeur de rance, attrapa une bouteille contenant un liquide clair et en bû une tres tres longue goulée.
La peur moitiée passée grace a son tord-boyeaux il te glissa quelques mots:

Vous pouvez toujours aller a la chope gravée...mais si vous voulez du plus mieux, du plus accueillant vous pouvez aller a la carotte frétillante, j'y ai des connaissances. Y'pourront vous z'aider si v'voulez

Je suis un humble homme de culte, les lieux ou je peu rencontrer les gens me mettent plus facilement à l'aise aussi c'est vers cette taverne que je vais me diriger

En terminant sa phrase il se retourne vers toi et semble marmoner une prière puis il appose ses deux mains sur tes épaules.

Continue ton devoir mon amis, je te souhaite une bonne soiré

Sur ce il remet la capuche de sa Bur pour se couvrir de la pluie qui recommence à tomber, te fait un signe de main et s'en va vers le la taverne dont lui a parlé le garde.