Le grand voyage de Kolgoth

La route vers le sud



Après le massacre de sa tribus, Kolgoth avait décidé de partir vers le sud, en quête d’un lieux ou il pourrait vivre sans obligations et où il pourrais lui même subvenir à ses besoins.
Pour atteindre son but, il dû quitter Norsca en suivant la routes des grandes invasion en évitant les sauvage tribus nordiques, les trolls et autres monstres qui y vivait dans ces régions et atteindre enfin Praag.
Rejoindre Kislev puis Talabheim en longeant la rivière Talabec dans la forêt des ombres, passer par la grande forêt pour rejoindre Nuln.
Continuer ensuite en direction de Barak-Varr et suivre le sud jusqu'à Morgheim (ne pas confondre avec Mordheim ! !) pour enfin trouver la terre qui pourrait lui accorder sa liberté et qui pourrais répondre à ses exigences (rhoooo mais non, il ne va pas devenir fermier ! ). Pour le moment Kolgoth c'est arrêté près de Nuln, dans lieux appelé camp nouveau.
Les récits qui suivront, vous raconteront comment Kolgoth est parvenu jusqu'à camp nouveau ses craintes (donc peu lol), ses amitiers (amours ?), ses trouvailles (armes ou équipements), comment il est devenu l'homme qu'il est aujord'hui, ainsi que ses ambitions pour continuer sa "quête" d'une région favorable à sa présence.



A suivre donc (je mettrai ce post à jour régulièrement mais pour le moment, dodo).

PS : n'hésitez pas à laisser des commentaires

Chapitre 1
De nouveaux alliers


Après le massacre de sa tribus, Kolgoth se sentit trahit par les membres de sa tribus, en effet, après avoir passé des années à se faire martyrisé ce qui est déjà une preuve de leurs méchanceté, certain d’entre eux avaient chercher à l’assassiner et il dû défendre sa vie contre son clan et désormais, il était seul car tous avais péris par sa lame. Après de longues heures de réflexion, il décida de quitter Norsca pour vivre beaucoup plus au sud dans les terres de légende dont lui avaient parlés les anciens ; « Très loin au sud vivent les dieux, ces dieux veillerons sur les hommes qui auront le courage de venir les rejoindre et ils vivront en parfaite liberté à l’abris des machinations des autres hommes ».

Le cœur remplit de hardiesse, il s’empressa de rassembler le matériel dont il aurait besoin sur son chemin car la route serait longue et semée d’embûches. Après avoir constitué une sépulture décente pour son oncle, il enfila son gilet de cuire, des vêtements chaud, empoigna son épée et partit vers le sud en direction de Praag. Les premier jours furent éreintant, le froid l’engourdissait et l’obligeait à s’arrêter régulièrement pour se reposer. Après plusieurs jours de course à travers Norsca, dans le froid et dans le doute, il croisa enfin d’autre êtres humains.

Une vingtaine de guerriers encadraient plusieurs chariot tiré par des chevaux, des esclaves étaient entassé à l’intérieurs surveillé par d’autre brutes qui leur faisaient tâter du fouet dès le moindre prétexte. Kolgoth rejoignit les guerriers et en discutant avec eux, il comprit que eux aussi faisaient route vers Praag. Profitant de cette occasion pour avoir de la compagnie, un bon feu la nuit ainsi que de quoi manger à sa faim en échange d’aide pour la protection du groupe, il se joignit à eux et sa route continua. Il ne lui fallut pas longtemps pour voir dans quelles affreuse conditions étaient retenu les esclaves car n’ayant pas été élevé comme les autres enfants de son age, il n’avait pas l’habitude de voir des captifs. Cependant, leurs conditions lui rappelait comment il avait été traité par ses semblables et la rage montait en lui de jours en jours.

Un matin, un des geôliers battit un prisonnier à mort, s’en fût trop et sa colère éclata. Il sortit son arme et abattit plusieurs gardes avant que ceux-ci ne se rendent compte de ce qui ce passait. Les captifs comprirent que c’était leur chance et il se révoltèrent, étranglant les garde à l’aide de leurs fers. Le carnage dura peu de temps, les marchands furent vaincu mais de nombreux prisonniers étaient passé au fil de l’épée. Les survivants étaient pour la plupart issus de tribus nordique ou de garnison de l’empire. Un grand nombre d’entre eux rentrèrent chez eux après avoir remercier leur sauveur mais deux d’entre eux estimaient avoir une dettes d’honneurs envers ce sauveur le suivraient désormais partout. Kolgoth accepta leurs décision avec joie car leur aide serait précieuses et leur compagnie bienvenue car la route était encore longue.

Les trois compagnons passèrent plusieurs heure à faire connaissance, le plus chétif se nommait Narul, et bien que n’ayant pas une grande puissance physique, il possédait une agilité surprenante et une grande vitalité, il venait d’une tribus de l’est et il fut capturé sur un champ de bataille ou il avait été laissé pour mort. Le second, Grhos, était chasseur dans un petit village au nord de Praag et était très habille au javelot. Après avoir ramassé ce dont ils avaient besoin sur les cadavres qui les entouraient, les trois compagnons continuèrent vers le sud….



A suivre

Chapitre 2
Arrivée à Praag


Après sa rencontre avec deux prisonniers dont il se lia d’amitié, Narul un guerrier vif et agile et Grhos un redoutable chasseur, la faim ne se fit plus sentir ce qui leurs permit de forcir le pas. Ils apprirent à mieux se connaître de jours en jours car à chaque halte, ils se racontaient des histoires sur les endroits d’où ils venaient, leurs familles et leurs amis, puis ils reprenaient leurs route, Narul contant des histoires extravagantes ou abracadabrantes et des légendes farfelues. Sa rencontre avec les geôliers des ses deux camarades avait apprit à Kolgoth à se méfier des autres hommes, c’est pourquoi le petit groupe évitait au maximum les contactes avec d’autres groupes craignant d’être capturé ou pire. La route était longue et ardue, ils croisèrent de nombreuses abominations vivant dans le nord, des trolls dont la stupidité leurs permis de les éviter facilement, de féroces molosses dressés pour traquer des proies rapide et qu’ils durent combattre pour rester en vie.

Mais à force de persévérance, le trio parvint enfin au village de Grhos, à une dizaine de kilomètres au nord de Praag. Il s’agissait plutôt d’un groupe de maisons isolée que d’un village à proprement parlé car n ‘y avait ni caserne, lieu de culte, seulement quelques habitations peuplée de fermiers, bûcherons , éleveurs ce qui permettait à leur petite communauté de s’auto-suffire. Les habitants reconnurent Grhos et il fut donc ses compagnons et lui, accueillit à bras ouverts et une petite fête fut organisée le soir même. Narul étant « un peu » saoul, il escalada une table et entama le récit des aventures qu’il avait vécu avec ses compagnons. Malgré ce qu’il avait bu, il réussit à tenir la foule en haleine jusqu’au moment ou il s’effondra lamentablement sur la table avant de s’endormir sous les éclat de rire des personnes présentes.

Le lendemain, après avoir récupérés de leurs nuit précédente Kolgoth, Narul et Grhos reprirent le chemin de Praag et à la suite de quelques heure de marche, ils arrivèrent enfin dans la grande cité. En effet, les premier quartier qu’ils traversèrent étaient constituer de maison simple ou vivaient les plus pauvre mais en s’approchant du centre de la ville, les bâtiment changeaient d’allure petit à petit et adoptaient des style plus recherché, certain était même richement décoré. Dès qu’ils furent sur la grande place du marché, virent un incroyable spectacle, les gens étaient présent par milliers, les commerçant vantaient les bienfaits de leurs produit, les femmes marchandaient le prix de ces produits des enfants couraient dans toutes les directions et passaient entre les jambes des adultes, tandis que les éclats de rire des hommes assis dans les tavernes aménagées pour l’occasions parvenaient aux oreilles du groupe.

De longues minutes furent nécessaire au groupe pour traverser la place et ne sachant plus vraiment quelle direction prendre il demandaient régulièrement leur chemin passants qu’ils croisaient pour enfin réussir à sortir de la ville. Narul remarqua que sa bourse lui avait été dérobée, Kolgoth et Grhos tirèrent la même conclusion lorsqu’ils portèrent leur main à leur ceinture. Ils ne purent faire autrement que continuer leurs chemin en suivant la route qui menait à la ville de Kislev…….


A suivre

Chapitre 3
Arrivée dans la forêt des ombres


La route jusqu' à Kislev n’était pas difficile à suivre à chaque croisements, un panneau élaboré indiquait où menait chaque chemin et hormis quelques paysans accompagné par leurs chevaux il y eu peu de rencontre. Cependant, alors que Kislev était en vue, nos trois gaillards vinrent en aide à un vieillard aux prises avec deux brigands qui furent vite mis en déroute une fois les épées dégainées et prêtes à faire couler le sang des malfrats. Le vieillard remercia ses sauveurs d’avoir mis en fuite ces bandits de grand chemin, qui avaient néanmoins réussit à lui subtiliser sa bourse de couronnes d’or. Il leurs parla également de « camp nouveau » (tiens sa me dis vaguement quelque chose, lol), une sorte de petit village d’où il était partit avec un cheval mais qu’il se fit dérober dans Kislev par une bande d’escrocs locaux. Après les avoir mit en garde contre les danger présents dans la ville et remercier une fois de plus, avant de reprendre sa route, le vieillard leur adressa ces paroles ; " Aucun homme n’est digne de confiance car ils sont tous plus viles que leurs voisins… " puis il partit vers le nord tandis qu’eux continuaient leurs chemin , et entrèrent dans Kislev quelques instant plus tard.

A peine furent ils entré dans la ville que plusieurs marchands les accostèrent, leur proposant toutes sorte de marchandises aussi étranges qu’inconnues dont ils n’avaient nullement besoin. De plus, les marchand semblaient d’avantage intéressés par leurs interlocuteurs que par la vente de leurs marchandises extravagantes. A force de refuser les offres des commerçants, ils finirent par abandonner et rebroussèrent chemin à la recherche de nouvelles " proies ". Dès lors a nouveau libres de leur mouvement les 3 compères continuèrent leurs routes à travers les ruelles de la ville tant et si bien qu'ils finirent par se perdre. Ils entrèrent donc dans la première auberge venue, sur l’enseigne était écrit " au sanglier boiteux ", et les bruits familier d’une bagarre d’auberge était perceptible. Malgré le désordre qui les entouraient, les trois hommes parvinrent tant bien que mal à atteindre le comptoir ou le tenancier, un grand homme bedonnant à l’allure sympathique et au crâne dégarnis, buvait une bonne bière en attendant que la bagarre cesse. Tandis les hurlement gagnaient en vigueur, le groupe tentaient de se faire entendre par le barman pour demander sa route et réussit tout de même à comprendre l’itinéraire qui les mènerait sur la route de la forêt des ombres. Alors qu’ils sortaient de l’auberge, un homme fracassa " malencontreusement " une chaise sur le dos de Kolgoth et le poing de celui-ci atterrit, " par le plus grand des hasards " sur le visage du malheureux l'envoyant s’écraser au sol quelques mètres plus loin.

Grâce aux explications du barman bedonnant, les trois amis parvinrent sans encombre à sortir de la ville, le chemin se poursuivant le longeant le Talabec la rivière locale. A peine quelques minutes plus tard, ils rencontrèrent un groupe de guerriers, un homme gras et couvert de peaux de bêtes se présenta comme étant le chef de ces guerriers il s’appelait Heinrich et leur proposa de les accompagner jusqu'à leurs campement un peu plus loin dans la forêt. Bien que cet homme ne lui inspirait pas confiance, Kolgoth accepta son offre car c’était de toutes façon son chemin.

Quelques instants plus tard, Kolgoth, Narul et Grhos marchait en tête du cortège et pénétraient dans la forêt. Les frêles arbres des abords de la forêt laissaient peu à peu place à de vieux et massifs arbres dont l’épais feuillage couvrait presque la totalité des rayon du soleil. Heinrich vint trouver le petit groupe de tête, leurs expliquant que malgré la proximité du campement dont ils pouvaient voir la barricade qui l’entourait, lui en tant que chef avait besoin de s’arrêter. Kolgoth soupira et se résigna à rejoindre les guerriers qui discutaient déjà entre eux, visiblement accoutumés aux caprices de leur supérieur….



A suivre.


PS : ce chapitre est plus lourd à la lecteur que les autres (enfin je pense)

Chapitre 4
Carnage en forêt


Suite à la fatigue de Heinrich, le groupe d’amis accompagné par les soldats s’arrêtèrent pour se reposer quelques instants et, une dizaine de minutes plus tard leur marche reprit de plus belle. A peine avaient ils entamés leurs marche que Grhos s’approcha de son sauveur pour lui faire part d’une observation inquiétante, en effet, les soldats avaient dégainés leurs armes, les observaient sans cesse et encerclaient peu à peu les deux guerriers qui jetaient des regards inquiets aux alentours, Narul était devenu introuvable. Persuadés d’être tombés dans un piège, le barbare et le bûcherons s’apprêtaient à livrer bataille à tout moment. Heinrich s’immobilisa et leva bien haut son arme ouvragée, le signale était donné et les soldats s’immobilisèrent à leur tour en pointant leurs armes vers les deux victimes, tandis que leur chef débattait avec Narul le prix de ces « esclaves ».

Cette trahison fit entrer Kolgoth dans un état de rage indicible, il dégaina son arme et abattit deux gardes dans le même mouvement puis il s’élança en direction de Narul avec la ferme intention de lui montrer le prix de sa trahison, Grhos le suivait de près, frappant de taille et d’estoc avec son épée. Les soldats s’interposèrent pour protéger leur maître qui en profita pour s’enfuire vers le campement alors que le traître sortait tranquillement son arme et s’appuya contre un arbre en laissant le carnage se dérouler. Le géant fauchait ses adversaire comme des blés mûre, la longueur de son arme et sa grande taille lui donnant un avantage indéniable contre les gardes, cependant leurs supériorité numérique se faisait de plus en plus sentir. Grhos s’effondra, du sang s’écoulait en abondance de la profonde blessure qui eut raison de lui. L’ homme enragé remarqua le corps inerte et couvert de sang de son amis, le visage du bersek devin difforme tant sa fureur était intense, et il poussa un rugissement si puissant que les soldats reculèrent, alors qu’ il se jetait à nouveau dans la mêlée. Il trancha en deux un premier garde et en décapita un autre dans une gerbe de sang, tant et si bien que les derniers guerriers battirent en retraite sans demander leurs reste.

Narul se retrouva seul face à son ancien allier, sa rapidité lui permettant d’esquiver sans problème la lame de son adversaire, le laissant ainsi s’épuisé à petit feu. Kolgoth compris vite qu’il n’aurait jamais le dessus sur cet adversaire et qu’il lui faudrait être plus rusé que lui, il saisit son épée d’une seul mains et fit mine de frappé sur la droite, Narul n’eut aucun mal à éviter le coup mais ne s’attendait pas à ce que la main libre du géant puisse si vite lui enserrer la gorge. Le nordique souleva le traître du sol jusqu'à ce que ces yeux soit au même niveau que les siens, puis enfonça profondément son épée dans l’abdomen du malheureux, il lui brisa la nuque, avant de relâcher son étreinte.

Le chemin était maintenant couvert de sang et de cadavres, parmi eux gisait Grhos, après lui avoir érigé une sépulture décente, la nuit était tombée et Kolgoth tourna son regard vers le campement de Heinrich. Après avoir traversé au pas de course et l’épée à la main la centaine de mètres qui le séparait des premières tentes, il exécuta méticuleusement toutes personnes qui croisait son chemin, puis il s’empara d’une torche et mis le feu au campement, continuant son carnage parmi les gardes tentent de maîtriser l’incendie. Il remarqua enfin une silhouette ventripotente errant au milieu des flammes, il s’en approcha et les dernière paroles qu’entendit Heinrich furent :
" J’apporte la mort et je viens prendre ton âme…"
Le campement étant devenu un brasier et tout les soldats qui y vivaient ayant été soit brûlé vif soit exécutés par ses soins, il s’immobilisa ;
" Kolgoth viens de renaître… "
puis il continua sa route vers Tabalheim…


A suivre

Chapitre 5
Le peuple des montagnes


A la suite de carnage qu’il avait provoqué dans la forêt des ombres, Kolgoth se renferma sur lui même et erra sans but dans les bois pendant près de 5 ans. Durant ces années, il croisa de nombreux marchands, voyageurs, et bandits qu’il se contentait d’ignorer mais qu’il massacrait sans remords ceux qui lui en donnait le moindre prétexte. Parfois des malfaiteurs essayaient de lui dérober quelques objets de valeurs mais jamais aucun ne survécu à la rencontre, c'est pourquoi les brigands locaux apprirent bien vite à éviter l’immense guerrier.

Cependant, un matin alors se rendait à une source d’eau pour s’y désaltérer, deux hommes surgirent des broussailles bordant le chemin. L’un d’entre eux portait une arbalète et il se mit rapidement en joue de sa victime, il était vêtu de large braie, d’un veston en cuire et d’un extravagant chapeau orné d’une plume blanche comme on en porte à Marienburg, le second homme portait une fine rapière, ses vêtements étaient sombre et son visage camouflé sous une capuche. Le géant nordique, furieux d’être ainsi agressé, s’élança vers l’homme à l’arbalète en dégainant son arme. Avant qu’il n’est le temps de l’atteindre, le carreau d’arbalète fut tirer et se ficha dans sa poitrine à quelques centimètres au dessus du cœur. Un flot de sang s’écoulait de cette blessure ce qui ne fit qu’accroître sa rage et il se rua de plus belle sur l’arbalétrier qui ne put rien faire lorsque la lame de son agresseurs le transperça avant de s’immobiliser en s’enfonçant profondément dans un chêne juste derrière lui. Voyant son adversaire tenter de dégager son arme de l’arbre où elle s’était enfoncée, l’homme à la rapière en profita pour prendre la fuite mais, dans son indicible soif de sang, Kolgoth brisa la lame de son épée en tentant de la dégagée et poursuivit le fuyard qu’il eu tôt fait de rattraper avant de lui briser sauvagement la nuque dans un bruit écœurant. Après cet ultime effort, le berserk tomba à genoux en palpant faiblement le projectile dépassant de sa poitrine, l’importance de sa blessure et la perte de beaucoup de sang le firent sombrer dans l’inconscience.

Lorsqu’il reprit enfin conscience, il était adossé à un arbre, un nains était assoupit près de lui, les mains encore couvertes de sang. Kolgoth crut tout d’abord qu’il s’agissait d’un pileur de cadavre mais, en se relevant il constata que le carreau qu’il avait reçu avait été retiré et sa blessure soignée, il comprit vite que ce nain lui avait sauvé la vie. Il essaya de comprendre ce geste mais avant qu’il n’en eut l’occasion, son sauveur se réveilla en sursaut en proie à une grande agitation, il se calma vite lorsqu’il vit que le « blessé » était debout face à lui. Le nordique observa le petit guerrier, des tresses encadraient son visage patiné par le temps et descendaient jusqu'à sa grande barbe blanche tachée de sang, ses vêtements de cuire semblait très robustes, sa lourde armure ouvragée était couchée dans l’herbe non loin de là où il s’était assoupit et aux cotés de plusieurs armes classique ainsi que d’une grande et somptueuse hache couverte de rune qui scintillaient sous les rayons du soleil. Le guerrier se présenta, il s’appelait Durgrim et il parcourrait la forêt à la recherche de la caravane de ses compagnons car il s’était égaré lors de la défense de leurs convoi contre un groupe de brigands. Alors qu’il recherchait ses compagnons, il le vit gisant au sol aux coté des cadavres de deux des bandits qui l’avait attaqué. Après avoir retiré le projectile de son corps, il confectionna un bandage de fortune.

Kolgoth le remercia de l’avoir soigné puis il ramassa les morceaux de son arme brisée puis, après avoir constaté qu’elle était irréparable, il rugit en jetant violemment ce qu’il en restait au sol et s’accorda quelques instant de réflexion. Alors qu’il était plongé dans ses pensées, Durgrim lui tendit une des lourdes épées qu’il transportait. Le nordique n’en revenait pas, c’était la première fois que quelqu’un se montrait amicale avec lui, il se saisit de l’arme et s’inclina avec respect devant le guerrier nain qui lui faisait face, c’est depuis ce jours que Kolgoth considère le peuple des montagne avec respect. Il le remercia une nouvelle fois et décida de reprendre sa route vers le sud…


A suivre.

Chapitre 6
Arrivée dans la grande forêt


Sa rencontre avec Durgrim changea sa vision des choses, en effet grâce aux soins qu’il lui avait apporté et à l’épée qu’il lui avait offert, il comprit que tout le monde n’était pas nécessairement mauvais. Après cette observation, il décida de reprendre sa route en suivant le chemin qu’il avait laissé de coté depuis longtemps. Le chemin ne fut pas difficile à retrouver car il longeait la rivière Talabec jusqu'à Talabheim. Suite à plusieurs jours de marche, le nordique pouvait enfin apercevoir certains bâtiments de ville dépasser au dessus de la cime des arbres et, quelques heures plus tard, il entrait dans la cité.

Le froid des terre du nord ayant cédé la place à des températures plus clémentes, les citoyens portaient des vêtements plus légers mais aussi plus extravagants, en particulier les marchands qui portaient des couleurs vives pour attirer l’attention du public. Les ruelle étaient bondée et il n’était pas facile de circuler cependant, la foule s’écartait devant le géant car personne n’avait jamais vu quelqu’un de si grand. Du fait de la surabondance de personnes dans les rues, il lui fut facile de trouver sa route car bon nombre d’étranger demandaient leur route et certains allaient vers le sud, il lui suffisait alors de suivre la direction indiquée.

La nuit commençait à tombée, les personnes rentraient chez elles peu à peu alors qu’il continuait vers le sud, jusqu’au moment ou il se retrouva à marcher seul dans les rues sombres. Au détour d’un croisement, trois individus louche l’abordèrent puis le menacèrent de leurs dagues effilées. Kolgoth dégaina alors sa lourde épée pour es faire déguerpire mais ils s’entêtaient et l’u d’entre chargea. Le nordique para facilement l’attaque avant de lui trancher la tête dans une violente contre attaque, les deux autre s’enfuirent en appelant de l’aide. Kolgoth comprit rapidement que leurs cris alerteraient rapidement les gardes et il choisit de sortir de la ville le plus vite possible. Il poursuivit donc sa route en courrant, mais les gardes étaient déjà à ses trousses.

Il arriva enfin à la sortie de la ville, mais deux soldats lui barraient la route, sans ralentir son allure, il dégaina son armes et la fit tournoyer pour les effrayer, l’un d’entre eux préféra s’écarter de son chemin mais l’autre restait résolument sur place. Le fit mine de frapper à gauche mais changea la trajectoire de son arme au dernier moment, le garde ne pu éviter l’attaque et le métal de l’arme trancha chair et os avec une égale facilité lorsqu’elle entra en contact de la jambe du garde qui s’effondra en hurlant. Le géant continua sa course et entra dans la forêt toute proche suivit par quelques gardes téméraires, tandis que la pluie commençait à tomber...


A suivre.

Chapitre 7
Le massacre des gardes


Cette nuit, la tempête faisait rage, la pluie tombait à grosses goutte sans discontinuité, de grande flaques d’eau étaient déjà apparues sur le sol détrempé et de grandes rafales de vent penchait les arbres et envoyaient voler dans les aires feuilles, des branches et diverses petites créatures.
L’orage couvrait les cris de terreur de Hans, soldat de Talabheim, qui courrait à grande enjambées, ignorant les branche qui fouettaient et mutilaient son visage, il tentait de fuir pour sauver sa vie. A chaque fois qu’il touchaient le sol, ses pieds s’enfonçaient profondément dans la boue, rendant sa fuite encore plus difficile. L’eau ruisselait sur son armure cabossée et se mêlait au sang qui parsemait les pièces de métal, les vêtements et la chair.

Le soldat, éreinté par sa course, s’arrêta quelques instants près d’un rocher pour tenter de reprendre son souffle. Il jeta plusieurs regards inquiets derrière lui, redoutant l’arrivée de l’ennemis qui le poursuivait. Son cœur faillit s’arrêter de battre alors qu’un puissant rugissement qui couvrit le bruit de l’orage retentit, suivit de près par les cris de terreur d’un homme. Puis l’orage repris ses droits, des éclaires illuminants la nuit dans un fracas assourdissant. Hans dégaina son épée et scrutait nerveusement les environs à la recherche d’un abris où se camoufler. Lorsqu’il trouva enfin un arbre creux suffisamment grand pour qu’il puisse s’y dissimuler, il était trop tard, un gigantesque guerrier lui barrait la route. Les crânes encore dégoulinant de sang de ses compagnons fermement saisit par les cheveux, pendaient lamentablement dans une main de son adversaire.

Le nordique poussa un puissant rugissement en levant son arme vers les cieux en signe de défis et le soldat en profita pour s’enfuire à toutes jambes en abandonnant son arme. Son monstrueux adversaire rugit devant tant de lâcheté et s’élança à sa poursuite. Il eut tôt fait de le rattraper et de l’arrêter d’un puissant coup pieds dans le dos, Hans chuta lourdement dans la boue la tête la première, il se retourna pour faire « face » à son assaillant. Le garde pouvait sentir l’odeur du sang caillé et hurlait de toutes ses forces en espérant que quelqu’un l’entende. La brute couverte de sang s’approcha de lui et l’attrapa fermement par le cou avant de le soulever de sol pour que ses yeux soient au même niveau que les siens. Le soldat se débattait tant bien que mal mais la poigne de fer du berserk lui coupait la respiration. Ses tentatives désespères pour se libérer perdaient en intensité alors que la vie quittait son corps et que son esprit rejoignait le royaume des ombres.

Indifférent aux coups du garde, Kolgoth le regarda mourir sans éprouver la moindre émotion, puis il relâcha son étreinte, laissant tomber au sol le corps sans vite du soldat avant de s’éloigner en murmurant :
" La mort est la seul justice pour les hommes…"


A suivre.

Chapitre 8
Arrivée à camp nouveau


Les gardes le poursuivants l’avait obliger à entrer profondément dans la forêt et après le massacre de ceux-ci dont il était le responsable, Kolgoth se rendit compte qu’il s’était perdu. Il continua donc dans la direction qui lui paraissait la plus raisonnable. Après quelques jours de marche, il sortit enfin de la forêt et aperçu un chemin qu’il décida de suivre. Des lumière devinrent visible au loin et à peine quelques minutes plus tard, il arriva devant les porte d’un camp. Il se remémora l’époque ou il vivait dans sa tribu et ou il n’était pas obligé de parcourir le monde et après un instant de réflexion, il décida de s’arrêter à l’auberge de ce camp pour se reposé pendant la nuit, un bon lit serait le bienvenue ;

Kolgoth arrivait à camp nouveau, il se dirigea vers la taverne pour sélectionner ses prochaines victimes, son épée au poing, encore dégoulinante du sang de ses ennemis, quelqu'un l'interpella.
"hep vous là-bas" l'interpella le caporal
"que faite vous en ville avec votre arme au poing ?" le questionna un 1 ° garde
Kolgoth s'immobilisa, stupéfait d'une tel audace
*qui ose me questionner ?* pensa t il
le 2° garde était plus méfiant et chuchotait tout en observant l'individu :
"hey les gars, vous avez vu la taille de ce type ? Regardez il est couvert de sang !"
"peuh, sans doute un mercenaire qui essai d'avoir l'air effrayant avec du sang de cochon sur ses vêtements !" siffla le 1° garde
le caporal plus professionnel :
"rangez cette arme citoyen, elle ne vous est d'aucune utilité ici. La milice est très efficace et les brigand évite la ville" dit il fermement
Kolgoth ce retourna vers les garde et avança vers le caporal en rengainant son épée. Il s'arrêta à un pas du garde qui se rendit alors compte de l'immensité de Kolgoth qui mesurait largement 2 têtes de plus que lui.
après plusieurs interminables minutes
"Vous...vous êtes en sécurité ici je vous assure" fini pas bredouiller le caporal des gardes, ses collèges visiblement plus inquiet avaient dégainés leurs armes sans montrer d' agressivité.
"Ce n'est pas pour moi que je m'inquièterais capitaine" annonça Kolgoth de sa voix grave et caverneuse
"Il y a des individu peu fréquentable par ici" le caporal suait à grosse gouttes malgré le froid ambiant alors qu'une sinistre pensée envahit son esprit.
"Co....connaissez vous de tel individu ?" s'inquiéta le caporal.
Kolgoth ne répondit pas mais se contenta de fixer le jeune capitaine pétrifié. Le capitaine frissonna, ses 2 collègues c'était approché, l'un d'entre eux posa sa mains sur son épaule tandis que Kolgoth s éloignait en direction de la taverne mais s'immobilisa soudain :
"Faite attention aux mauvaise rencontre" affirma Kolgoth
"La prochaine fois vous pourriez avoir moins de chance " ajouta t il, le ton de sa phrase était diaboliquement ironique et le caporal tituba.
"Je savais que ce mec était pas net" conclut le 2° garde.




Et voila, c'est terminé, c'était long mais j'y suis arrivé, j'espère que vous avez aimé et sinon bah tant pi, je ferai mieux la prochaine fois.
bye