[A la caserne]

Je travers la place pour atteindre la caserne. J'interpel le premier soldat que je vois dans les environs

"Bonjour, je cherche le Sergent, il est dans le coin?"

Le garde en faction te toise.

C'est qu'on rentre pas ici comme dans un moulin! Et vous pourriez ptetr vous présenter avant de poser des questions non? Qui etes vous, et qu'est de que vous voulez?

L'homme a l'air passablement énervé

"Hrrooo..."

Je fronce un peu les sourcils et suis à la limite de souffler de hâte.

"Je suis Harkon. Et je viens voir le sergent au sujet des sales peaux-vertes."

Ouais...ben rentrez et demandez au gars dans la sellerie, a gauche quand vous rentrez, il vous accompagnera voir si l'sergent est disponible.

Il te fait un salut semi militaire et ne fait plus attention a ce que tu fais.

Je rentre donc en suivant ses indications et m'adresse à la personne qui semble appropriée:

"Je voudrais parler au sergent"

Et on vous a jamais apris a dire bonjour?

Le type s'occupe d'une veste de cuir, il la graisse et recoud quelques sangles abîmées. Il est assis a cheval sur un banc en bois et te dévisage, sur de lui. L'odeur de cuir est tres forte dans la piece, c'est la que sont entassées les selles et équiepements des cheveaux de la garde ainsi que les pieces d'armure.

"Si, on me l'a appris.
Et maintenant où est le sergent? J'ai des informations très importantes à lui transmettre rapidement."

L'homme semble ne pas apprécier ta remarque. Il se leve et s'approche de toi en carrant les épaules:

A ouais, comme ca t'as des informations importantes qui empechent d'etre poli? Et bien c'est quel genre d'informations? J'aime pas les p'tits rigolos désagréables qui essayent de m'entuber. T'es un nain reiklandais toi nan?

L'homme met tout le mépris posseible dans ces dernieres paroles.

J'esquisse un large sourire. Puis gonfle le torse en me rapprochant.

"Je viens pour rendre service et je ne cherche qu'a aider. Si vous ne voulez ni aide physique, ni obtenir de nouvelles informations sur les orques et gobelins qui menacent la région dites le clairement, j'irai sauver la choppe gravée."

Alors comme ca tu te sens indispensable? Y'a que toi qui peux sauver l'monde? Ca se présente pas, c'est pas poli pour deux sous et ca se permet de s'prendre pour je sais pas qui! T'es bien un gars du reikland toi, que dl'a gueule et pas de tripes.

Il croise les bras et fronce les sourcils.

Alors, je te l'répete une derniere fois pasqu'avec les reiklandais faut souvent répéter! C'est quoi qu'tu veux dire au sergent qui t'empêche d'etre poli avec la garde? Et en plus qui qut'es pour etre aussi désagréable?

Voyant que la situation s'enlise et que la tension monte je lui souris de plus belle mais d'un air géné

"Ola! Voyons pas besoin de s'énerver."

Je lui fait des signes de stop avec les mains pour qu'il s'apaise légèrement.

"Je viens signaler la position approximative d'un groupement d'orques et de gobelins qui nous ont tendu une ambuscade dans la forêt, non loin d'ici."

Son expression change. De l'énervement le plus profond il passe a l'inquiétude.

Combien de lances? Quelle direction vous dites?

Il passe la main sur la garde de son épée...





HRP: suis sympa, l'entrée principal du village est au nord.

Je suis légèrement surpris par son changement de réaction

"Heuu...a vrai dire...heu...
On était trois caravanes de vin et de tissus escorté par quatres professionnel."

Je poursuis mon histoire en fronçant les sourcils et en baissant légèrement la tête comme un enfant qui vient de se faire prendre en train de voler une pomme sur la place de Middenheim.

Je crois que tout le monde y a laissé sa vie car les gobelins étaient très nombreux. Ils devaients être trois fois plus je pense. Et j'ai vu deux trois orques. J'ai...J'ai...rien pu..."

Bon venez avec moi.

Il sort a grands pas de la sellerie et travers la cour interieure de la caserne. Il arrive devant une porte, l'ouvre, et s'enfonce dans un couloir. Il monte un escalier en bois simple.

Attendez la, je vais voir si le sergent peut vois recevoir. A oui, donnez moi votre arme, on ne rentre pas armé chez le sergent.

Il te tend la main

Un homme gros comme une porte de village apparait dans l'antichambre. Son visage est couturé de cicatrice et orné d'une petite barbe brune, qui encadre son dur visage. Il est vêtu d'une tunique simple avec un blason brodé dessus mais tu distingues une solide cotte de mailles dessous.

Bonjour, je m'appelle Hans Bermach, je suis le sergent de la garde de Camp nouveau, je la dirige en l'absence de notre capitaine, Olaf Stark.

Il te fait un bref salut militaire puis te tend la main...

J'essui ma main sur mon pantalon puis lui offre une bonne poignée.

"Alors je ne sais pas si il vous a dit...je suis là pour parler des peaux vertes..."

Il m'a dit mais partiellement. Qu'est ce qui se passe vraiment, racontez moi tout et n'omettez rien. C'est une question de vie ou de mort pour nous. Rentrez
Il te fait entrer dans son bureau.

(la réponse en PM)

...dans le bureau.

Harkon ressort donc du bureau les sourcils froncés en grognant dans sa barbe comme un animal.
Il regarde autour de lui et cherche l'homme qui l'a conduit au bureau:

"Je voudrais récupérer mes affaires."

Le garde, souleve le couvercle d'un grand cofre en bois et te tend tes armes.

Vous savez on voit pas beaucoup d'arbaletes par ici, plutot des arcs et des frondes. Vous l'avez eu comment?

En reprenant ses affaires, Harkon lui répond:

"Un marchand ambulant qui passait par Nuln. Il me l'a vendu pour pas trop cher. Enfin...j'ai du négocier."

Ah bon...je savais pas qu'on pouvait acheter ca a des marchands ambulants...mais comme je vous l'ai dit, nous on se sert plus d'arcs. Je vous raccompagne.

Il te ramene a l'entrée de la caserne.

Et bien voila, bonne journée.

Il te tourne les talons et s'en va.

Harkon s'en va, d'un pas lourd et rapide. Il traverse la place en direction de l'Hotel de ville.

Arrivé a la caserne, Efylian interpelle un garde
Bonjour, gardien de l'ordre, je souhaite proposer mes services pour l'expédition contre les peaux-vertes. Je connais bien la foret et je sais comment m'y débrouiller, de plus je puis me vanter d'etre assez bon au tir a l'arc.

Ben c'est bien. Mais c'est pas ici. Allez voir chez Jospeh Bauer le sergent de la milice.

Un homme plus tout a fait jeune sort de la caserne a ce moment la. Il salue le garde en faction. Ce dernier l'interpelle.

Caporal bernhardt! L'elfe la, il veut partir avec vous, parait qu'il sait tirer a l'arc. Ca vous interesse?

L'homme en question se retourne vers toi et dis d'un ton habitué a commander:

Suivez moi.

Il s'engage sur la place d'un pas militaire et se dirige vers la maison de jospeh bauer.

HRP; Suite ici