Marteau de Guerre
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Kurt Walhen
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MessageSujet: Récits   Récits EmptyJeu 23 Mar - 0:33

Récit de la première partie

Récits Paysage6op

Le jour du départ pour l’expédition, il fesait particulièrement beau temps. Après les préparatifs de départ, tous les aventuriers se retrouvèrent devant la Chope Gravée. Tout le monde est là sauf Karuk.

Après une bonne heure d’attente ils aperçoivent karuk qui s’avance vers eux, à ses côtés une petite charrette est tractée par un mulet.

Quand il arrive près d’eux, il dit :

« Les amis, un petit changement dans notre aventure. Nous allons emmener le corps de Baruk à Karak Kadrin où il sera exhumé comme il se doit. Je pense qu’il aurait souhaité être enterré auprès des siens. Donc si vous n’y voyez pas d’inconvénient, nous veillerons sur son cadavre... »

Arellys a comme Karuk un mulet, les autres aventuriers sont avec leur équipement.

Le petit groupe de la Confrérie Ecarlate passe la grande entrée Nord de Camps Nouveau, la sentinelle les regarde passer du haut de sa guérite. Elythian décide de partir de temps en temps en éclaireur. Karuk affichait une triste mine. Il portait sur son épaule son fameux gourdin qui avait servit à botter les fesses de plus d’un mauvais client. La charrette avançait lentement avec son précieux contenu.

La petite troupe se retrouve très vite sur les routes de l'empire.
Le défilé croise plusieurs voyageurs… puis dans l’après midi ils croisent un petit convoi de marchands. Le convoi est composé de plusieurs soldats et marchands. Ils transportent divers fournitures dans trois carrioles dont une qui est en mauvaise état et presque vide.

-Khazagin va a la rencontre d'un des marchands et dit :

Bonjour messieurs.
A ce que je vois vous transportez diverses marchandises, et ayant moi même besoin de quelques articles, pourriez vous me dire ce que vous avez a proposer?


Khazagin prend un air très doux et poli

La personne avec qui Khazagin parlait était un marchand avec un fort accent et la peau mate. Il portait une tenue ample et avait l'air plutôt musclé, laissant supposer un entraînement physique quotidien.

" Nous n'avons malheureusement plu grand chose et le peu que nous ayons sont des commandes pour des nobles de Nuln. nous avons juste du cuir en rabe, mais je doute que cela vous serve..."

Khazagin eu l'air dépité en écoutant le marchand.

Effectivement, le cuir je n'en ai pas trop l'utilité. Ca me désole qu'on puisse se faire dévaliser a ce point. M'enfin.. bon et bien bonne journée messieurs, et j'espère que votre route serra plus calme et sereine maintenant.

Khazagin s’éloigna du convoi et s'assit sur une grosse pierre le temps que les autres aient fini de discuter avec les marchands.
Il repris la route, rêvassant a tout et n'importe quoi, le prix du tabac... "a dix couronnes la livre, c'est sur que tu fumes pas ta pipe pour rien"..d'ailleurs il lui en restait un peu.. de celui de gorak. Tiens qui sait si en faisant une guilde on pourrait pas avoir du tabac moins cher? Et tiens, si ca se trouve y'a des producteurs de tabac par ici.. et pas que chez les petits hobbits..."rah, les canailles, va falloir que je retourne les voir un de ces jours, j'en ai passé du bon temps avec eux..."

Et c'est ainsi en marmonnant dans sa barbe tressée que khazagin continua la route avec ses compagnons.

Körnil discutait avec Gorak à propos de la partie de la caravane qui était âbîmée.

Kolgoth Le nordique marchait seul à l'arrière de petit groupe il remarqua à peine la caravane marchande. Lorsqu'il remarqua que plusieurs de ses compagnons allaient à la rencontre des marchands, il resta à l'écart pour faire quelques exercices avec son épée, s'arrêtant de temps en temps pour vérifier le tranchant et la propreté de l'arme puis reprenant ses exercices.

Arellys avait attaché son âne à la charrette et marchait un peu en retrait. Elle n'avait pas dit un mot depuis le départ et semblait plongée dans ses pensées.
Elle regarda la caravane, mais n'esquissa pas un mouvement dans cette direction. Elle s'arrêta auprès de Sebastian et lui gratta l'oreille distraitement.

Malgré la possibilité de la monter, Johannes marcha aux côtés de Patience pendant toute la journée, et ce, même si ses affaires de voyage encombraient relativement peu la jument. Il allait donc parmi la colonne, légèrement retiré, et jetait quelquefois de fugaces regards distraits vers Arellys. Comme interrogateur. De même, il lui arrivait de jeter un oeil à Kay, se demandant si ce dernier souhaitait se tenir à l'écart de lui, mais il affichait, comme à son habitude, un sourire engageant, prêt à discuter avec qui le souhaiterait. Jusque là, il allait donc en silence, en apparence perdu dans ses pensées mais évoluait d'un pas tranquille et assuré.

La seule fois où il avait ouvert la bouche jusqu'à présent, c'était peu après le départ, pour demander à Karuk en combien de temps il comptait atteindre la prochaine ville, village ou hameau et quand il compterait faire halte pour la nuit. Savoir où il allait et comment avait toujours revêtu une importance capitale à ses yeux.

En apercevant le convoi, il fit quelque pas en direction de l'un des gardes. Parler à l'un d'eux attirait en effet souvent moins la suspicion car ceux-ci étaient chargés de protéger marchands et marchandises et savaient très bien se défendre tout seul, ce qui les rendait maintes fois plus confiants. Il lui adressa donc la parole quelques instants échangeant quelques banalités avec lui aux yeux des autres, puis rejoint ses compagnons, un peu plus en retrait qu'auparavant.

Ce petit convoi de marchands vient de Krugenheim. En discutant avec eux, les aventuriers apprennent qu’ils ont été attaqué une fois à quelques lieux de Krugenheim, par des brigands qui ont pu emporter un gros butin et tuer quelques mercenaires et un marchand. Ils transportent divers fournitures dans trois carrioles dont une qui est en mauvaise état et presque vide. Ils n’ont pas été inquiétés par les gobelins, car ils se sont arrêtés que dans des bourgades ou des auberges de voyageurs, mais la grande forêt en est infestée.

Karuk a discuté avec l'un des marchand à propos de l'attaque, puis c'est placé près de sa charrette, donne à manger à son mulet et vous attend.


Pendant que les aventuriers discutaient avec les marchands, Grimgor passa les portes de Camps Nouveau en coup de vent et ne s'arrêta pas devant les gardes qui semblaient stupéfait de sa rapide remise sur pied.

-Oh là maître nain, les blessures guériraient donc si vite par chez vous??

- Nous les nains sommes rrrobustes, mais point n'est temps pour bavasser, je dois rattraper cette caravane en parrtance pour les montagne, un longue et épuisante marche m'attend

-Cette course risque de vous épuiser, pourquoi donc se hâter si vite, camps nouveaux n'est pas d'une grande attraction par ces temps, mais il y a une auberge confortable ou vous pourriez fumer la pipe et panser vos blessures

- Certe, mais la route m'appelle! Je voudrai retrouver les montagnes et peut être mon agresseur qui sait? J'ai grand besoin d'argent... Nous nous reverrons peut être,je vous salue bien gardes!


Sur ce, Grimgor se remit à courir laissant les gardes pensifs, appuyés sur leurs épée.



La compagnie reprit la route et marcha une bonne heure avant de croiser une patrouille de la garnison de Reikham qui surveille les bords de la rivière Stir. La patrouille est composée de sept cavaliers commandées par un certains Rudolph Von bast. Ils ne sont pas très bavard et posent des questions sur la cargaison inhabituelle. Car ce n’est pas tous les jours que des personnes transportent des cadavres. Les soldats sont plutôt froids et désagréables.

Rudolph:

"Hola Voyageurs! Qu'est ce dont que ce petit groupe? Je ne pense pas que vous soyez des brigants, mais puis je savoir ce que vous transportez...?"

Karuk allait parler, quand Rudolph le stoppa en levant la main, Karuk serra la poigne de son gourdin, puis ce calma. Le patrouilleur pointa son doigt en direction de Johannes:

"Toi! Explique moi les raisons de votre voyage et ce que vous transportez..."

Gorak était resté en retrait pendant tout le voyage, parlant peu et remplissant sa pipe lorsque celle ci etait vide. Aprés l'episode des marchands, il se dit que le calme allait peut être revenir.

Continuant de marcher dans son coin, il ne sembla pas trop se soucier de ses compagnons de route .. chacun restant plutôt avec les personnes avec lesquels ils avaient develloppés des affinités.
Lorsque les "gardes" firent irruption au sein de la compagnie, Gorak recula machinallement il defit discretement les sangles de son piolet mais garda sa pipe à la main. Laissant ceux qui voulaient s'exprimer le faire... Il etait evident que leurs compagnies ne respirait pas la discretion .. autant être prudent, nombreux etaient les mécreant se faisant passer pour des gardes ou des patrouilleurs. A la seconde ou johannes prit la parole, Gorak sentit que la situation pouvait degénérer ... il se rapprocha de Kornil et lui fit signe discretement de se tenir pret au cas ou. Se faisant, il ne quitta pas des yeux Karuk, attendant que ce dernier pris une quelconque decision.

Arellys ne fut pas surprise du peu d'égards que faisaient montre les soldats et dut réprimer un sourire en voyant la mine renfrognée de Karuk lorsqu'il fut coupé.
Elle avait hâte de voir comment Johannes allait gérer la situation, bien qu'elle ne doutât pas de ses capacités en la matière. Elle le fixa d'un regard mi-amusé, mi-interrogateur.

Erestor distingua de loin les patrouilleurs et se méfiait d'eux,. Qui sait peut-être étaient-ce des bandits, dans le doute il sorti son arc elfique et resta bien derrière le chariot afin de ne pas le montrer.
Erestor n'appréciait pas du tout le ton du chef des Patrouilleur, il se dit qu'une bonne correction ne lui ferait pas de tord.

Mellion resta à l'écart près du chariot.
Il regarda le chef patrouilleur qui ne lui paraissait pas si imposant.

Körnil resta complètement impassible aux évènement, il acquiessa lors de la mise en garde de Gorak et écouta, visiblement amusé l'histoire de Johannes...


Le nordique Kolgoth n'apprécia visiblement pas le ton du cavalier, et faillit dégainer sa lourde épée, sa main s'arrêtant à quelques centimètres de la garde de l'arme.
Un rictus de souffrance apparut soudain sur le visage du nordique qui prit sa tête entre ses mains pour apaiser la douleur. Il grogna en empoignant sa hache avant de faucher les arbustes qui bordaient le chemins, marmonnant de sombre parole dans son norse natale en tentant d'apaiser la rage que la douleurs avait fait naître....


Arkar vit que Kolgoth approcha sa main de son arme, Arkar se dit alors qu'il serais plus en sécurité a coté du Nordique si les choses devaient mal se passer, il ne voulais pas finir a nouveaux en prison. il posa sa main sur son épée. il n'avait absolument rien compris a ce que dit johannes.


En entendant l'homme Johannes se pinça légèrement les lèvres. Il espérait que Karuk ne le prendrait pas mal et pris donc la parole, étonné que le patrouilleur soit incapable de voir ce qui était évident.
Un groupe, des nains en quantité bien trop importante pour ne pas représenter un terrible danger pour la santé mentale de leur compagnon, une charrette, un corps de nain et ces idiots étaient incapable de reconnaître une procession!
Il sourit intérieurement se demandant ce qu'il allait bien pouvoir leur raconter et fouillant jusqu'au fin fond de sa mémoire pour savoir s'il n'avait pas entendu parler des von Bast lorsqu'il séjournait à Nuln.
Il choisit tout natourrellemnt d'adopter l'accent dé yens dé Nouln, qu'il avait pou prratiquer des années durrant lorrs de séyour chez des amis. Carr apparrament bien peu de perrsonnes étaient prêtes à crroire oun affable tiléen affabulateur... . Mais ça, c'était une autre f... histoire.

Il fit donc sa révérence sans toutefois la prononcer, comme saluant un confrère et non un supérieur. Puis se choisit un nom, celui de l'un de ses nobliaux méconnus du sud du Stirland devrait parfaitement convenir... .

"Guten Tag Herr von Bast. Peut-être devrais-je commencer par me présenter. Je me nomme Wilhelm von Schattendorf, nous avons quelqu'amis de la noble race naine là où nous vivons et, par le plus abominable des malheur, l'un d'eux est tomber dans des circonstances fort tragiques... ."

Il choisit de changer de ton, il allait prendre celui de mère lorsqu'elle disait le pardonner pour quelque manquement tout en montrant sa désapprobation. Tendre et pourtant tellement froid. Oh oui! Celui-ci conviendrait à merveille! Aussi doux que la soie, aussi tranchant que l'acier... . Il jubilait en lui même tandis qu'il se composait un visage froid et distant.

"Je comprend parfaitement que vous fassiez votre travail et en temps normal je vous aurait chaleureusement remercier pour le zèle dont vous faites preuves... . Mais comme vous avez pu le constater, vous venez d'interrompre une procession qui à pour unique et louable dessein de conduire un ami décédé dans sa dernière demeure, parmi les siens... ."

Il décida de se montrer un peu moins frigide. Presque souriant, presque... .

"Mais autant compenser un mal par un bien. Si vous venez de briser le voeu de silence que nous avions choisit de respecter, moi et quelque des gens ici présents."

Il indiqua de la main l'ensemble des nains, Arellys et ce cher Kolgoth qui comme tant d'autre aurait pu tout faire rater... . Au moins SON comportement était-il aisément explicable par la peine qui l'accablait... .

"Peut-être pourriez vous au moins nous donner des nouvelles de la routes? Nous ne pouvons souffrir plus d'ennuis dans notre deuil et il se dit que les brigands se font de plus en plus entreprenant. Donc si vous avez des informations, il serait bien aimable à vous de les partager, mais vite. Nous avons du chemin à faire et la nuit tombe parfois bien plus vite qu'il ne l'est nécessaire. Et veuillez pardonner ces quelques servants indisciplinés... ."

Il désigna tour à tour Korutor et Erestor peu étonné que des personnes si bien nommées puissent lui causer quelques torts... .

"Les petites gens bien éduquées se font bien rare de nos jours... ."

Johannes espérait de tout coeur que ce coup-ci, les personnes désignées auraient l'extrême obligeance et ne serait-ce que l'infime bon sens de bien vouloir se taire un peu. C'était bien la peine de vouloir rester entre adultes si s'était pour finir par se chamailler sur les bords de routes pendant qu'un sale mioche se creusait les méninges pour expliciter le mieux possible la situation...

==> suite


Dernière édition par le Jeu 23 Mar - 0:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Récits   Récits EmptyJeu 23 Mar - 0:34

==> suite du récit de la première partie


Khazagin continua tout le chemin absorbé dans ses pensées et soliloquant dans sa barbe. Il fut tiré de sa rêverie au moment ou il se rendit compte que ses compagnons s’étaient arrêtés, et qui par la même occasion lui aussi. Ne s’étendant pas intérieurement sur sa fâcheuse habitude de ne pas faire attention a ce qui se passe autour de lui qui il pense, il étudia la situation pour essayer de comprendre un peu ce qui se passait ; il avait loupé le début de la conversation.
Il s’intéressa plus particulièrement à celui qui semblait être le chef.

Ma foi, ce grand gesticulateur sur sa bourrique là, ma tout l air d’être le responsable de tout ce foin…. Et pourquoi il n’écoute pas Karuk ! Couilles de troll, il a pas l’air bien sympathique.
Mais bon, si c’est le chef…c’est lui qui décide, et c’est pas parce qu’il a l’air couillon comme trois mules qu’il faut pas écouter ce qu’il dit…

Khazagin se gratta la barbe, il écoutait la suite de la conversation. Quand le patrouilleur demanda à Johannes de parler, il fit un bond

Couilles de troll surtout pas lui ! Mais qu’est ce qu’il va encore nous inventer comme campafouillade celui la ?

Il tourna la tête vers les autres membres de son groupe et vit erestor et kolgoth s’agiter.

Ouille aïe aïe…ca sent pas bon ca, ca sent pas bon ca…

Il mit la main droite sur la tête de son marteau, l’air de rien, et se massa la barbe de la gauche.
Le discours de Johannes le fit se détendre un peu

Ca, faut bien dire qu’il est doué avec la parole ce drôle…

Toutefois, il resta attentif aux mouvements de la troupe.
Il se pencha comme pour remettre en place les liens de ses chausses, et souffla une petite phrase a johannes




Puis contre toute attente, coupant net à la discution laissant les patrouilleurs surpris et sans voix:

La route fut longue et harassante pour Grimgor, la caravane avait pris pas mal d'avance et sa blessure le faisait encore un peu souffrir. Fort heureusement les routes dans ces contrées de l'empire étaient assez bien tracées et il avançait plus vite que la caravane lentement tirées par des mules. Il courut au pas de course pendant plusieurs heures et quand il aperçut la caravane, le soleil n'était pas loin de se coucher. Plusieurs personnes l'observaient depuis le convoi et certaines semblaient tendues. Quelques hommes tirèrent leur épée.

-Holà compagnie, je ne vous veux pas de mal, je viens de camp nouveau afin d'escorter cette carrravanne dans les montagnes, où je voudrai moi même me rendre. refuserrrez vous mon aide? Mais, je ne me suis pas présenté, Grimgor Taillefer, nain de mon état et ma fois assez bon escrrrimeur. J'ai beaucoup marrrché et aurait besoin de me rreposer, y aurrrait il une place pour un vieu nain érrreinté comme moi sur votre carriole, je partagerai volontier les quelques sachets de tabac de Moot qui me rrrestent pour prrrouver ma bonne volonté…

Erestor vit le nain et comprit immédiatement qu'il était blessé, il se porta à sa rencontre et le salua: "Bonsoir à vous Maître Nain, vous semblez mal au point, voulez-vous de l'aide?". "Bien sur, je ne souhaite pas vous offensez mais seulement vous aider. Si il y a bien une chose que j'ai appris des nains, c'est qu'ils sont très fier d'eux-mêmes".


Khazagin se retourna en entendant arriver le nain. Constatant l'épuisement du guerrier il ne prit même pas la peine d'écouter jusqu"au bout son discours. Il écarta Erestor:
Laissez le respirer jeune sot, il est exténué!

Sortant sa gourde il avanca vers grimgor:
Mon ami, ne vous épuisez pas en vaines paroles et buvez un peu, cela vous remettra. Certes ce n'est pas de la biere, mais elle vous ferait du mal apres une telle course. Allons lampez et peut etre trouverons nous un morceau pour vous rassasier.
IL prit le nain par l'épaule, et , tournant le dos à la patrouille lui glissa quelques mots en silence.


Grimgor prit la gourde et but. Il s'essuya la bouche d'un revers de sa manche et dit:

-Merci bien, j'avais grand soif et je vais devoir me rreposer.

Lorsque qu'il vu l'elfe se précipiter à sa rencontre, il dit:

-Vous êtes forrrt aimable, mais je suis rrrobuste, je m'en sortirrrai, ma blessurre n'est pas si prrrofonde.


Grimgor observa d'un air amusé les grands airs de Johannes qui renforçait ses paroles à force de mouvements grandiloquents qui lui rappelait certains noblions de campagnes qu'il avait cotoyé durant ses longs périples:

-Et bien maître, j'ai été averrrti de sa morrrt. C'est bien triste hélas, et me joint à la tristesse de ses amis. Voyez vous, j'ai vu trop de morts moi même pour m'attrrrister perrsonnellement du décès d'un inconnu, mais je rrrespecterrai votre douleurrr et ferrai tout pour que son inhumation soit digne d'un nain! Je me passerai de votre cheval, je vous remercie, je vais plutôt trouver un abri dans cette carriole qui me semble plus confortable pourr prendrrre un peu de repos et fumerr une bonne pipe. D'ailleurs si vous êtes vous même amateur...

Sur ce il tourna le dos aux patrouilleurs et s'installa confortablement dans la cariole.


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C'est le récits approximatif du début, j'ai essayé de remettre tout dans l'ordre et nous repartirons d'ici... Je vais juste faire un post sur la réaction des PJs... Ca va pas être facile Smile
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