Erestor

Dans la soirée, Erestor, un humain aux yeux gris-bleu et aux cheveu mi-chatain clair, mi-auburn, parcours d'un pas décidé les derniers mètres le séparant des portes de Camp Nouveau.

Portant sur lui, l'armure de cuir traditionnelle des Gardiens Tribaux, il tenait dans sa main un bouclier de cristal dont l'emblème correspondait probablement aux armoiries de son clan et dans son autre main, un baton de cristal qui reflètait les rayons du soleil couchant et sur lequel il semblait s'appuyer.

Un arc elfique et une lame elfique étaient porté dans son dos ainsi qu'un coutelas rangé dans un fourreau situé sur l'épule, ces armes et ce bouclier étaient ses plus chères possessions.

Arrivé près des portes, il s'adressa aux gardes: "Bonsoir, braves gens, auriez-vous l'obligeance de m'ouvrir ces portes? Je suis Erestor de Laurelorn".

Devant les portes du camps se trouvent deux gardes armés d'une lance chacun et vétus d'une armure de cuir.

L'un des garde se met entre le chemin du nouveau venu et dit d'une voix grave:

Si vous desirez entrer il vous faudra repondre au question du scribe. L'intendant aime savoir qui se trouve entre ces murs et nous n'acceptons pas n'importe qui, surtout en ces temps...

Un petit homme est assis à un bureau à quelque pas du garde.
Il dispose d'une plume ainsi que d'un encrier. Sans lever la tete, il dit:

Votre nom, age, motivations, d'où venez vous? Avez vous déja eu La Variole Verte? Nous ne voulons pas de problemes ici et je vous prierez de bien vouloir nous dire tout ce que vous savez d'important sur vous meme...

Les deux gardes regardent le nouveau venu d'un regard ferme lors du petit interrogatoire.

Erestor remercia les gardes et, se retournant, s'adressa au scribe d'un ton égal mais courtois:

Erestor de Laurelorn, 17 ans, pas de maladies contractées.

J'ai été recueilli et éducqué selon les préceptes de la race elfique des habitants de la forêt de Laurelorn, à la mort de mon père, suite à l'attaque sur le village situé au coeur des Forêt de Laurelorn.

Le scribe lève sa tete vers Erestor et le dévisage du regard, puis il reprend:

Bon, je crois que ca ira, vous pouvez entrer, ne faite rien d'illégal.
Si vous avez besoin de renseignement, allez voir l'intendant ou le baraquement de la milice...

Les deux garde laissent entrer Erestor dans le camps. L'un d'eux le regarde d'un air sombre en disant:

Et rappellez vous, on vous surveille...

Ne vous en faite pas, je serais prudent et ne ferais rien de stupide.

S'adressant au scribe: je vous remercie messire